Dépouillements

La maison commune / Isabelle de Gaulmyn in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 3 p Titre : La maison commune : Editorial Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle de Gaulmyn, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 3 p Langues : Français (fre) [article] La maison commune : Editorial [texte imprimé] / Isabelle de Gaulmyn, Auteur . - 2015 . - 3 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 3 p

« Laudato si’, mi Signore » : « Loué sois-tu, mon Seigneur » / François in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 5-71 p Titre : « Laudato si’, mi Signore » : « Loué sois-tu, mon Seigneur » : 24 mai 2015, lettre encyclique du pape François sur la sauvegarde de la maison commune Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 5-71 p Langues : Français (fre) Résumé : L’encyclique du pape François sur l’écologie humaine, datée du 24 mai 2015 jour de la Pentecôte, a été rendue publique le 18 juin 2015. Le document pontifical, très attendu bien au-delà de la seule sphère catholique, est un texte construit en six chapitres qui se veulent un appel confiant à la responsabilité politique des hommes, à leur conscience morale, afin de prendre soin de notre « maison commune » qu’est la Terre. Pour l’aider dans la rédaction de Laudato si’, le Saint-Père a fait appel à de nombreux experts et scientifiques en collaborant étroitement avec le Conseil pontifical Justice et Paix. Cette encyclique s’adresse « à tous » a tenu à préciser le pape François. Note de contenu : Introduction [1-16] → Laudato si’, mi’ Signore [1-2] → Rien de ce monde ne nous est indifférent [3-6] → Unis par une même préoccupation [7-9] → Saint François d’Assise [10-12] → Mon appel [13-16] Premier chapitre  : Ce qui se passe dans notre maison [17-61] I. Pollution et changement climatique [20-26] → Pollution, ordure et culture du déchet [20-22] → Le climat comme bien commun [23-26] II. La question de l’eau [27-31] III. La perte de biodiversité [32-42] IV. Détérioration de la qualité de la vie humaine et dégradation sociale [43-47] V. Inégalité planétaire [48-52] VI. La faiblesse des réactions [53-59] VII. Diversité d’opinions [60-61] Deuxième chapitre : L’Évangile de la création [62-100] I. La Lumière qu’offre la foi [63-64] II. La sagesse des récits bibliques [65-75] III. Le mystère de l’univers [76-83] IV. Le message de chaque créature dans l’harmonie de toute la création [84-88] V. Une communion universelle [89-92] VI. La destination commune des biens [93-95] VII. Le regard de Jésus [96-100] Troisième chapitre : La racine humaine de la crise écologique [101-136] I. La technologie : créativité et pouvoir [102-105] II. La globalisation du paradigme technocratique [106-114] III. Crise et conséquences de l’anthropocentrisme moderne [115-136] → Le relativisme pratique [122-123] → La nécessité de préserver le travail [124-129] → L’innovation biologique à partir de la recherche [130-136] Quatrième chapitre : Une écologie intégrale [137-162] I. L’écologie environnementale, économique et sociale [138-142] II. L’écologie culturelle [143-146] III. L’écologie de la vie quotidienne [147-155] IV. Le principe du bien commun [156-158] V. La justice entre générations [159-162] Cinquième chapitre : Quelques lignes d’orientation et d’action [163-201] I. Le dialogue sur l’environnement dans la politique internationale [164-175] II. Le dialogue en vue de nouvelles politiques nationales et locales [176-181] III. Dialogue et transparence dans les processus de prise de décisions [182-188] IV. Politique et économie en dialogue pour la plénitude humaine [189-198] V. Les religions dans le dialogue avec les sciences [199-201] Sixième chapitre : Éducation et spiritualité écologiques [202-246] I. Miser sur un autre style de vie [203-208] II. Éducation pour l’alliance entre l’humanité et l’environnement [209-215] III. La conversion écologique [216-221] IV. Joie et paix [222-227] V. Amour civil et politique [228-232] VI. Les signes sacramentaux et le repos pour célébrer [233-237] VII. La Trinité et la relation entre les créatures [238-240] VIII. La reine de toute la création [241-242] IX. Au-delà du soleil [243-246] En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2520-H/ [...] [article] « Laudato si’, mi Signore » : « Loué sois-tu, mon Seigneur » : 24 mai 2015, lettre encyclique du pape François sur la sauvegarde de la maison commune [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2015 . - 5-71 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 5-71 p Résumé : L’encyclique du pape François sur l’écologie humaine, datée du 24 mai 2015 jour de la Pentecôte, a été rendue publique le 18 juin 2015. Le document pontifical, très attendu bien au-delà de la seule sphère catholique, est un texte construit en six chapitres qui se veulent un appel confiant à la responsabilité politique des hommes, à leur conscience morale, afin de prendre soin de notre « maison commune » qu’est la Terre. Pour l’aider dans la rédaction de Laudato si’, le Saint-Père a fait appel à de nombreux experts et scientifiques en collaborant étroitement avec le Conseil pontifical Justice et Paix. Cette encyclique s’adresse « à tous » a tenu à préciser le pape François. Note de contenu : Introduction [1-16] → Laudato si’, mi’ Signore [1-2] → Rien de ce monde ne nous est indifférent [3-6] → Unis par une même préoccupation [7-9] → Saint François d’Assise [10-12] → Mon appel [13-16] Premier chapitre  : Ce qui se passe dans notre maison [17-61] I. Pollution et changement climatique [20-26] → Pollution, ordure et culture du déchet [20-22] → Le climat comme bien commun [23-26] II. La question de l’eau [27-31] III. La perte de biodiversité [32-42] IV. Détérioration de la qualité de la vie humaine et dégradation sociale [43-47] V. Inégalité planétaire [48-52] VI. La faiblesse des réactions [53-59] VII. Diversité d’opinions [60-61] Deuxième chapitre : L’Évangile de la création [62-100] I. La Lumière qu’offre la foi [63-64] II. La sagesse des récits bibliques [65-75] III. Le mystère de l’univers [76-83] IV. Le message de chaque créature dans l’harmonie de toute la création [84-88] V. Une communion universelle [89-92] VI. La destination commune des biens [93-95] VII. Le regard de Jésus [96-100] Troisième chapitre : La racine humaine de la crise écologique [101-136] I. La technologie : créativité et pouvoir [102-105] II. La globalisation du paradigme technocratique [106-114] III. Crise et conséquences de l’anthropocentrisme moderne [115-136] → Le relativisme pratique [122-123] → La nécessité de préserver le travail [124-129] → L’innovation biologique à partir de la recherche [130-136] Quatrième chapitre : Une écologie intégrale [137-162] I. L’écologie environnementale, économique et sociale [138-142] II. L’écologie culturelle [143-146] III. L’écologie de la vie quotidienne [147-155] IV. Le principe du bien commun [156-158] V. La justice entre générations [159-162] Cinquième chapitre : Quelques lignes d’orientation et d’action [163-201] I. Le dialogue sur l’environnement dans la politique internationale [164-175] II. Le dialogue en vue de nouvelles politiques nationales et locales [176-181] III. Dialogue et transparence dans les processus de prise de décisions [182-188] IV. Politique et économie en dialogue pour la plénitude humaine [189-198] V. Les religions dans le dialogue avec les sciences [199-201] Sixième chapitre : Éducation et spiritualité écologiques [202-246] I. Miser sur un autre style de vie [203-208] II. Éducation pour l’alliance entre l’humanité et l’environnement [209-215] III. La conversion écologique [216-221] IV. Joie et paix [222-227] V. Amour civil et politique [228-232] VI. Les signes sacramentaux et le repos pour célébrer [233-237] VII. La Trinité et la relation entre les créatures [238-240] VIII. La reine de toute la création [241-242] IX. Au-delà du soleil [243-246] En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2520-H/ [...]

“Misericordiae Vultus”, Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde / François in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 72-85 p Titre : “Misericordiae Vultus”, Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde : 11 avril 2015, Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde promulguée par le pape François Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 72-85 p Langues : Français (fre) Note de contenu : La Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde a été solennellement rendue publique, le 11 avril 2015 dans la basilique Saint-Pierre de Rome, à l’occasion des premières Vêpres du dimanche de la Divine Miséricorde. Vêpres présidées par le Pape François. Avant la célébration, la Bulle pontificale a été lue devant la Porte sainte de la basilique par Mgr Leonardo Sapienza, Régent de la maison pontificale et protonotaire apostolique. Dans sa Bulle d’indiction du Jubilé, le pape François souligne que la miséricorde est le pilier qui soutient la vie de toute l’Église, et que dans son action pastorale « tout devrait être enveloppé de la tendresse par laquelle on s’adresse aux croyants ». La miséricorde est aussi cet idéal qui donne à la foi chrétienne sa crédibilité. « Il est déterminant pour l’Église et pour la crédibilité de son annonce de vivre et de témoigner elle-même de la miséricorde », écrit-il ainsi. Le pape François souhaite que cette Année jubilaire soit vécue à la lumière de la Parole du Seigneur tirée de l’évangile de Luc (6, 36) : « Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux ». Que cette parole en soit la devise. « C’est un programme de vie aussi exigeant que riche de joie et de paix », écrit-il. Le texte donne également des indications pratiques pour vivre ce Jubilé extraordinaire dans sa plénitude spirituelle : comme accomplir un pèlerinage, éviter de juger et de condamner, fuir la jalousie et l’envie, apporter le réconfort à ceux qui vivent dans la précarité et la pauvreté, briser la barrière de l’indifférence qui cache l’hypocrisie et l’égoïsme, ou encore annoncer la libération aux prisonniers de l’esclavage moderne… En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-O/ [...] [article] “Misericordiae Vultus”, Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde : 11 avril 2015, Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde promulguée par le pape François [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2015 . - 72-85 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 72-85 p Note de contenu : La Bulle d’indiction du Jubilé extraordinaire de la miséricorde a été solennellement rendue publique, le 11 avril 2015 dans la basilique Saint-Pierre de Rome, à l’occasion des premières Vêpres du dimanche de la Divine Miséricorde. Vêpres présidées par le Pape François. Avant la célébration, la Bulle pontificale a été lue devant la Porte sainte de la basilique par Mgr Leonardo Sapienza, Régent de la maison pontificale et protonotaire apostolique. Dans sa Bulle d’indiction du Jubilé, le pape François souligne que la miséricorde est le pilier qui soutient la vie de toute l’Église, et que dans son action pastorale « tout devrait être enveloppé de la tendresse par laquelle on s’adresse aux croyants ». La miséricorde est aussi cet idéal qui donne à la foi chrétienne sa crédibilité. « Il est déterminant pour l’Église et pour la crédibilité de son annonce de vivre et de témoigner elle-même de la miséricorde », écrit-il ainsi. Le pape François souhaite que cette Année jubilaire soit vécue à la lumière de la Parole du Seigneur tirée de l’évangile de Luc (6, 36) : « Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux ». Que cette parole en soit la devise. « C’est un programme de vie aussi exigeant que riche de joie et de paix », écrit-il. Le texte donne également des indications pratiques pour vivre ce Jubilé extraordinaire dans sa plénitude spirituelle : comme accomplir un pèlerinage, éviter de juger et de condamner, fuir la jalousie et l’envie, apporter le réconfort à ceux qui vivent dans la précarité et la pauvreté, briser la barrière de l’indifférence qui cache l’hypocrisie et l’égoïsme, ou encore annoncer la libération aux prisonniers de l’esclavage moderne… En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-O/ [...]

« Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8) / François d'Assise in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 86-90 p Titre : « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8) : 17 février 2015, message pour la XXXe journée mondiale de la jeunesse Type de document : texte imprimé Auteurs : François d'Assise (1182?-1226), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 86-90 p Langues : Français (fre) Résumé : Le Saint-Siège a rendu public, le 17 février 2015, le message du pape François pour la Journée mondiale de la jeunesse, célébrée chaque année le dimanche des Rameaux et cette année le 29 mars 2015. Dans la perspective des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) de juillet 2016 à Cracovie, Pologne, et après une première année de réflexion sur le thème « Heureux les pauvres en esprit », le pape décline dans ce message le sens de la béatitude « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu ». Dans la première partie de son message, il prend le temps d’expliquer le sens du mot « heureux ». Partant de là, il a indiqué que le cœur est le siège « des sentiments, des pensées, et des intentions de la personne humaine ». Aussi, a-t-il invité les jeunes à « discerner ce qui peut polluer » le cœur. Puis, il les a invités à soigner leur relation avec Dieu, le seul trésor capable de répondre à l’attente affective inhérente à leur âge. Il les a aussi vigoureusement encouragés à se « révolter contre cette culture du provisoire » qui voudrait leur faire croire qu’ils ne sont pas « capables d’aimer ». Comme moyens pour entretenir leur relation avec Dieu, le pape a recommandé aux jeunes la prière, la lecture fréquente de la parole de Dieu, la rencontre avec les autres et en particulier avec les pauvres. « La volonté de Dieu est notre bonheur » a-t-il conclu, « ayez le courage d’être heureux ! », avant de leur donner rendez-vous pour les JMJ de Cracovie en 2016. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-G/ [...] [article] « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8) : 17 février 2015, message pour la XXXe journée mondiale de la jeunesse [texte imprimé] / François d'Assise (1182?-1226), Auteur . - 2015 . - 86-90 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 86-90 p Résumé : Le Saint-Siège a rendu public, le 17 février 2015, le message du pape François pour la Journée mondiale de la jeunesse, célébrée chaque année le dimanche des Rameaux et cette année le 29 mars 2015. Dans la perspective des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) de juillet 2016 à Cracovie, Pologne, et après une première année de réflexion sur le thème « Heureux les pauvres en esprit », le pape décline dans ce message le sens de la béatitude « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu ». Dans la première partie de son message, il prend le temps d’expliquer le sens du mot « heureux ». Partant de là, il a indiqué que le cœur est le siège « des sentiments, des pensées, et des intentions de la personne humaine ». Aussi, a-t-il invité les jeunes à « discerner ce qui peut polluer » le cœur. Puis, il les a invités à soigner leur relation avec Dieu, le seul trésor capable de répondre à l’attente affective inhérente à leur âge. Il les a aussi vigoureusement encouragés à se « révolter contre cette culture du provisoire » qui voudrait leur faire croire qu’ils ne sont pas « capables d’aimer ». Comme moyens pour entretenir leur relation avec Dieu, le pape a recommandé aux jeunes la prière, la lecture fréquente de la parole de Dieu, la rencontre avec les autres et en particulier avec les pauvres. « La volonté de Dieu est notre bonheur » a-t-il conclu, « ayez le courage d’être heureux ! », avant de leur donner rendez-vous pour les JMJ de Cracovie en 2016. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-G/ [...]

En Afrique du Nord, l’éducation et l’acceptation de la différence comme antidotes à la violence / François in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 91-93 p Titre : En Afrique du Nord, l’éducation et l’acceptation de la différence comme antidotes à la violence : 2 mars 2015, discours du pape François aux membres de la Conférence des évêques de la région Nord de l’Afrique (Cerna) en visite ad limina apostolorum Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 91-93 p Langues : Français (fre) Résumé : Le pape François a accueilli avec joie, le 2 mars 2015, les membres de la Conférence épiscopale de la région Nord de l’Afrique (Cerna) en visite ad limina à Rome. Depuis plusieurs années, « votre région connaît des évolutions significatives », a-t-il, en tout premier lieu, voulu souligner. Celles-ci ont permis d’espérer voir se réaliser « certaines aspirations à une plus grande liberté et à la dignité ». Cependant, « ces évolutions » ont également conduit « à des déchaînements de violence », a regretté le pape François. « La vitalité évangélique de vos diocèses dépend de la qualité de la vie spirituelle et sacramentelle de chacun » d’entre vous, a-t-il poursuivi. Et de rappeler que l’histoire de la région « a été marquée par de nombreuses figures de sainteté depuis Cyprien et Augustin, patrimoine spirituel de toute l’Église, jusqu’au bienheureux Charles de Foucauld ». Soulignant que l’universalité était l’une des caractéristiques des Églises du Nord de l’Afrique, le pape François a invité tous les fidèles – venus de nombreuses nations « pour former des communautés bien vivantes » –, « à manifester sur leur visage la joie de l’Évangile ». Le dialogue interreligieux « est une part importante de la vie » de vos Églises, a-t-il continué. Et, « vous savez combien la méconnaissance mutuelle » est source d’incompréhensions « et parfois même d’affrontements ». « L’antidote le plus efficace contre toute forme de violence est l’éducation à la découverte et à l’acceptation de la différence comme richesse et fécondité. », a rappelé le pape François. « Aussi est-il indispensable que dans vos diocèses prêtres, religieux et laïcs soient formés dans ce domaine. » Et de souligner le rôle indispensable du Pisai. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-K/ [...] [article] En Afrique du Nord, l’éducation et l’acceptation de la différence comme antidotes à la violence : 2 mars 2015, discours du pape François aux membres de la Conférence des évêques de la région Nord de l’Afrique (Cerna) en visite ad limina apostolorum [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2015 . - 91-93 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 91-93 p Résumé : Le pape François a accueilli avec joie, le 2 mars 2015, les membres de la Conférence épiscopale de la région Nord de l’Afrique (Cerna) en visite ad limina à Rome. Depuis plusieurs années, « votre région connaît des évolutions significatives », a-t-il, en tout premier lieu, voulu souligner. Celles-ci ont permis d’espérer voir se réaliser « certaines aspirations à une plus grande liberté et à la dignité ». Cependant, « ces évolutions » ont également conduit « à des déchaînements de violence », a regretté le pape François. « La vitalité évangélique de vos diocèses dépend de la qualité de la vie spirituelle et sacramentelle de chacun » d’entre vous, a-t-il poursuivi. Et de rappeler que l’histoire de la région « a été marquée par de nombreuses figures de sainteté depuis Cyprien et Augustin, patrimoine spirituel de toute l’Église, jusqu’au bienheureux Charles de Foucauld ». Soulignant que l’universalité était l’une des caractéristiques des Églises du Nord de l’Afrique, le pape François a invité tous les fidèles – venus de nombreuses nations « pour former des communautés bien vivantes » –, « à manifester sur leur visage la joie de l’Évangile ». Le dialogue interreligieux « est une part importante de la vie » de vos Églises, a-t-il continué. Et, « vous savez combien la méconnaissance mutuelle » est source d’incompréhensions « et parfois même d’affrontements ». « L’antidote le plus efficace contre toute forme de violence est l’éducation à la découverte et à l’acceptation de la différence comme richesse et fécondité. », a rappelé le pape François. « Aussi est-il indispensable que dans vos diocèses prêtres, religieux et laïcs soient formés dans ce domaine. » Et de souligner le rôle indispensable du Pisai. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-K/ [...]

Pour le pape François, la peine de mort est « inadmissible » / François in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 94-96 p Titre : Pour le pape François, la peine de mort est « inadmissible » : 20 mars 2015, lettre du pape François au président de la Commission internationale contre la peine de mort Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 94-96 p Langues : Français (fre) Résumé : Le pape François a reçu, le 20 mars 2015, une délégation de la Commission internationale contre la peine de mort. Au cours de l’audience, il a remis à son président, M. Federico Mayor, une lettre dans laquelle il exprime son opposition à la peine capitale. Souhaitant partager ses réflexions sur la façon dont l’Église « peut contribuer à l’effort humaniste de la Commission », le pape François commence par préciser que toute vie humaine « est sacrée » car, depuis son origine et depuis le premier instant de sa conception, « elle est le fruit de l’action créatrice de Dieu ». « La vie, et surtout la vie humaine, n’appartient qu’à Dieu », affirme-t-il ainsi. Quelle que soit la gravité du délit commis par le condamné, « la peine de mort est inadmissible », poursuit-il. De plus, « cela ne rend pas justice aux victimes, mais ne fait que susciter un désir de vengeance ». « Pour un État de droit, la peine de mort représente un échec, car elle l’oblige à tuer au nom de la justice », continue le pape François en expliquant également que « la justice humaine est imparfaite » et que « si l’on ne reconnaît pas sa faillibilité », elle peut devenir « source d’injustices ». Si, de nos jours, « il existe des moyens pour réprimer le crime de façon efficace », le pape François met cependant en garde contre la peine de prison à perpétuité. Comme d’autres peines qui, par leur durée, « conduisent à l’impossibilité pour le condamné d’imaginer un futur en liberté », celle-ci peut être considérée comme « une peine de mort déguisée ». « En effet, écrit encore le pape François, on ne prive pas le coupable de sa liberté, mais on cherche à le priver de toute espérance. » En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-M/ [...] [article] Pour le pape François, la peine de mort est « inadmissible » : 20 mars 2015, lettre du pape François au président de la Commission internationale contre la peine de mort [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2015 . - 94-96 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 94-96 p Résumé : Le pape François a reçu, le 20 mars 2015, une délégation de la Commission internationale contre la peine de mort. Au cours de l’audience, il a remis à son président, M. Federico Mayor, une lettre dans laquelle il exprime son opposition à la peine capitale. Souhaitant partager ses réflexions sur la façon dont l’Église « peut contribuer à l’effort humaniste de la Commission », le pape François commence par préciser que toute vie humaine « est sacrée » car, depuis son origine et depuis le premier instant de sa conception, « elle est le fruit de l’action créatrice de Dieu ». « La vie, et surtout la vie humaine, n’appartient qu’à Dieu », affirme-t-il ainsi. Quelle que soit la gravité du délit commis par le condamné, « la peine de mort est inadmissible », poursuit-il. De plus, « cela ne rend pas justice aux victimes, mais ne fait que susciter un désir de vengeance ». « Pour un État de droit, la peine de mort représente un échec, car elle l’oblige à tuer au nom de la justice », continue le pape François en expliquant également que « la justice humaine est imparfaite » et que « si l’on ne reconnaît pas sa faillibilité », elle peut devenir « source d’injustices ». Si, de nos jours, « il existe des moyens pour réprimer le crime de façon efficace », le pape François met cependant en garde contre la peine de prison à perpétuité. Comme d’autres peines qui, par leur durée, « conduisent à l’impossibilité pour le condamné d’imaginer un futur en liberté », celle-ci peut être considérée comme « une peine de mort déguisée ». « En effet, écrit encore le pape François, on ne prive pas le coupable de sa liberté, mais on cherche à le priver de toute espérance. » En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-M/ [...]

“Sachons apprendre à être fatigués, mais bien fatigués!” explique le pape François aux prêtres / François in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 97-100 p Titre : “Sachons apprendre à être fatigués, mais bien fatigués!” explique le pape François aux prêtres : 2 avril 2015, homélie du pape François lors de la messe chrismale Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 97-100 p Langues : Français (fre) Résumé : Le pape François a célébré la messe chrismale, au matin du 2 avril 2015 en la basilique Saint-Pierre, entouré notamment par les prêtres de son diocèse de Rome qui ont, au cours de la célébration, renouvelé leurs promesses sacerdotales. Consacrant son homélie au travail – souvent harassant – des prêtres, le pape François leur a avoué penser souvent à leur fatigue. Cependant, cette fatigue est « comme l’encens qui monte silencieusement vers le ciel » (Ps 140, 2 ; Ap 8, 3-4), elle « va droit au cœur du Père », a-t-il souligné. Une fatigue qui appelle le repos. Mais « comme il est difficile d’apprendre à se reposer », a-t-il poursuivi. « Ayons bien présent à l’esprit qu’une clé de la fécondité sacerdotale se trouve dans la manière dont nous nous reposons, dont nous sentons que le Seigneur s’occupe de notre fatigue », a souhaité le pape François. Et de poser quelques questions en forme d’aide : « est-ce que je sais me reposer en recevant l’amour, la gratuité et toute l’affection que me donne le peuple fidèle de Dieu ? », « l’Esprit Saint est-il vraiment pour moi “repos dans la fatigue”, ou seulement celui qui me fait travailler ? », « est-ce que je sais me reposer de moi-même, de mon auto exigence, de mon autosatisfaction, de mon autoréférence ? »… Une volonté de discernement que le pape François, au cours de son homélie, a également appliqué aux différentes formes de fatigue. Il y a d’abord « la fatigue des gens, des foules ». « Pour le Seigneur, comme pour nous », elle est épuisante – l’Évangile le dit –, « mais c’est une bonne fatigue, une fatigue pleine de fruits et de joie », a-t-il indiqué. Ensuite, il y a la fatigue « des ennemis ». « Ici la fatigue de les affronter est plus dure. » Non seulement il s’agit de faire le bien, « avec toute la peine que cela comporte », mais il faut aussi « défendre le troupeau et se défendre soi-même du mal ». Enfin, il y a « la fatigue de soi-même », peut-être la plus dangereuse… « c’est la déception de soi-même, mais pas regardée en face, avec la sérénité joyeuse de celui qui se découvre pécheur et qui a besoin de pardon », a expliqué le pape François. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-M/ [...] [article] “Sachons apprendre à être fatigués, mais bien fatigués!” explique le pape François aux prêtres : 2 avril 2015, homélie du pape François lors de la messe chrismale [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2015 . - 97-100 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 97-100 p Résumé : Le pape François a célébré la messe chrismale, au matin du 2 avril 2015 en la basilique Saint-Pierre, entouré notamment par les prêtres de son diocèse de Rome qui ont, au cours de la célébration, renouvelé leurs promesses sacerdotales. Consacrant son homélie au travail – souvent harassant – des prêtres, le pape François leur a avoué penser souvent à leur fatigue. Cependant, cette fatigue est « comme l’encens qui monte silencieusement vers le ciel » (Ps 140, 2 ; Ap 8, 3-4), elle « va droit au cœur du Père », a-t-il souligné. Une fatigue qui appelle le repos. Mais « comme il est difficile d’apprendre à se reposer », a-t-il poursuivi. « Ayons bien présent à l’esprit qu’une clé de la fécondité sacerdotale se trouve dans la manière dont nous nous reposons, dont nous sentons que le Seigneur s’occupe de notre fatigue », a souhaité le pape François. Et de poser quelques questions en forme d’aide : « est-ce que je sais me reposer en recevant l’amour, la gratuité et toute l’affection que me donne le peuple fidèle de Dieu ? », « l’Esprit Saint est-il vraiment pour moi “repos dans la fatigue”, ou seulement celui qui me fait travailler ? », « est-ce que je sais me reposer de moi-même, de mon auto exigence, de mon autosatisfaction, de mon autoréférence ? »… Une volonté de discernement que le pape François, au cours de son homélie, a également appliqué aux différentes formes de fatigue. Il y a d’abord « la fatigue des gens, des foules ». « Pour le Seigneur, comme pour nous », elle est épuisante – l’Évangile le dit –, « mais c’est une bonne fatigue, une fatigue pleine de fruits et de joie », a-t-il indiqué. Ensuite, il y a la fatigue « des ennemis ». « Ici la fatigue de les affronter est plus dure. » Non seulement il s’agit de faire le bien, « avec toute la peine que cela comporte », mais il faut aussi « défendre le troupeau et se défendre soi-même du mal ». Enfin, il y a « la fatigue de soi-même », peut-être la plus dangereuse… « c’est la déception de soi-même, mais pas regardée en face, avec la sérénité joyeuse de celui qui se découvre pécheur et qui a besoin de pardon », a expliqué le pape François. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-M/ [...]

Celui qui porte en soi la force de Dieu, son amour et sa justice, n’a pas besoin d’user de violence / François in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 101-102 p Titre : Celui qui porte en soi la force de Dieu, son amour et sa justice, n’a pas besoin d’user de violence : Voici le texte de la bénédiction urbi et orbi prononcé par le pape pour le jour de Pâques. Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 101-102 p Langues : Français (fre) En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Actualite/Rome/Celui-qui-porte-en-soi-la-fo [...] [article] Celui qui porte en soi la force de Dieu, son amour et sa justice, n’a pas besoin d’user de violence : Voici le texte de la bénédiction urbi et orbi prononcé par le pape pour le jour de Pâques. [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2015 . - 101-102 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 101-102 p En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Actualite/Rome/Celui-qui-porte-en-soi-la-fo [...]

Pour Mgr Parolin, face aux armes, la priorité reste la force du droit / Pietro Parolin in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 103-107 p Titre : Pour Mgr Parolin, face aux armes, la priorité reste la force du droit : 11 mars 2015, conférence du cardinal Parolin à l’occasion du Dies Academicus 2015 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pietro Parolin, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 103-107 p Langues : Français (fre) Résumé : Dans la matinée du 11 mars 2015, le cardinal-secrétaire d’État Pietro Parolin a prononcé une conférence dans le cadre du Dies Academicus 2015, journée annuelle d’étude sur un thème que les départements académiques de l’université abordent selon les différents domaines du savoir (théologie, philosophie, histoire, biens culturels, droit canonique, sciences sociales, etc.). Le thème de cette conférence était : « La paix : don de Dieu, responsabilité humaine, engagement chrétien ». Nous reprenons la traduction des larges extraits de son intervention publiée dans l’Osservatore Romano langue française. Le cardinal s’est attaché dans un premier temps à définir la diplomatie du Saint-Siège qui est de « soutenir une idée de paix qui soit le fruit de rapports justes, de respect des règles internationales, de protection des droits humains fondamentaux en commençant par ceux des derniers, les plus vulnérables ». Puis il a insisté sur la manière dont la diplomatie du Saint-Siège est à l’œuvre, insistant sur la nécessité de renforcer le droit international humanitaire, de privilégier le dialogue avant les armes, de garantir la justice avant même de garantir la légalité pour redéfinir l’après-conflit. Dans un rapide survol historique, le cardinal Parolin s’est interrogé sur la diplomatie à mettre en œuvre, aujourd’hui, face au terrorisme « extraterritorial ». En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-M/ [...] [article] Pour Mgr Parolin, face aux armes, la priorité reste la force du droit : 11 mars 2015, conférence du cardinal Parolin à l’occasion du Dies Academicus 2015 [texte imprimé] / Pietro Parolin, Auteur . - 2015 . - 103-107 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 103-107 p Résumé : Dans la matinée du 11 mars 2015, le cardinal-secrétaire d’État Pietro Parolin a prononcé une conférence dans le cadre du Dies Academicus 2015, journée annuelle d’étude sur un thème que les départements académiques de l’université abordent selon les différents domaines du savoir (théologie, philosophie, histoire, biens culturels, droit canonique, sciences sociales, etc.). Le thème de cette conférence était : « La paix : don de Dieu, responsabilité humaine, engagement chrétien ». Nous reprenons la traduction des larges extraits de son intervention publiée dans l’Osservatore Romano langue française. Le cardinal s’est attaché dans un premier temps à définir la diplomatie du Saint-Siège qui est de « soutenir une idée de paix qui soit le fruit de rapports justes, de respect des règles internationales, de protection des droits humains fondamentaux en commençant par ceux des derniers, les plus vulnérables ». Puis il a insisté sur la manière dont la diplomatie du Saint-Siège est à l’œuvre, insistant sur la nécessité de renforcer le droit international humanitaire, de privilégier le dialogue avant les armes, de garantir la justice avant même de garantir la légalité pour redéfinir l’après-conflit. Dans un rapide survol historique, le cardinal Parolin s’est interrogé sur la diplomatie à mettre en œuvre, aujourd’hui, face au terrorisme « extraterritorial ». En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-M/ [...]

Fin de vie : ne prenons pas le problème à l’envers! in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 108-113 p Titre : Fin de vie : ne prenons pas le problème à l’envers! : 20 janvier 2015, déclaration du groupe de travail des évêques de France sur la fin de vie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 108-113 p Langues : Français (fre) Résumé : Le groupe de travail des évêques sur la fin de vie, présidé par Mgr Pierre d’Ornellas archevêque de Rennes (Francec), a publié une déclaration – le 20 janvier 2015 – la veille du débat parlementaire sur le sujet. Débat qui s’est déroulé sans vote et qui préfigurait l’examen d’une proposition de loi PS-UMP, prévu au mois de mars 2015. Cette déclaration sur la fin de vie aborde quatre thèmes principaux : celui du développement d’une culture palliative – véritable cause nationale prioritaire – afin de résoudre le « mal mourir » actuel en France ; celui du droit à la sédation et de la nécessité « de tenir compte de chaque situation et de la fluctuation des souhaits » – et qui ne fait pas actuellement l’objet d’un droit spécifique – ; celui sur une nécessaire clarification « des conditions de rédaction des directives anticipées dans le respect de la liberté » ; enfin celui sur la limitation et l’arrêt de traitements dans le respect de « la dignité intrinsèque de l’être humain ». La déclaration du groupe de travail des évêques sur la fin de vie rappelle également qu’« aucun critère de compétence ou de capacité relationnelle ne peut définir l’humanité de l’être humain. L’humanité ne s’absente jamais de l’être humain vivant ». En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-E/ [...] [article] Fin de vie : ne prenons pas le problème à l’envers! : 20 janvier 2015, déclaration du groupe de travail des évêques de France sur la fin de vie [texte imprimé] . - 2015 . - 108-113 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 108-113 p Résumé : Le groupe de travail des évêques sur la fin de vie, présidé par Mgr Pierre d’Ornellas archevêque de Rennes (Francec), a publié une déclaration – le 20 janvier 2015 – la veille du débat parlementaire sur le sujet. Débat qui s’est déroulé sans vote et qui préfigurait l’examen d’une proposition de loi PS-UMP, prévu au mois de mars 2015. Cette déclaration sur la fin de vie aborde quatre thèmes principaux : celui du développement d’une culture palliative – véritable cause nationale prioritaire – afin de résoudre le « mal mourir » actuel en France ; celui du droit à la sédation et de la nécessité « de tenir compte de chaque situation et de la fluctuation des souhaits » – et qui ne fait pas actuellement l’objet d’un droit spécifique – ; celui sur une nécessaire clarification « des conditions de rédaction des directives anticipées dans le respect de la liberté » ; enfin celui sur la limitation et l’arrêt de traitements dans le respect de « la dignité intrinsèque de l’être humain ». La déclaration du groupe de travail des évêques sur la fin de vie rappelle également qu’« aucun critère de compétence ou de capacité relationnelle ne peut définir l’humanité de l’être humain. L’humanité ne s’absente jamais de l’être humain vivant ». En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-E/ [...]

Au nom de quoi légaliser un geste de mort? in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 114-115 p Titre : Au nom de quoi légaliser un geste de mort? : 9 mars 2015, manifeste des représentants des trois religions monothéistes sur la fin de vie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 114-115 p Langues : Français (fre) Résumé : Alors qu’une proposition de loi sur la fin de vie va être discutée à l’Assemblée nationale à partir du 10 mars 2015, les représentants des trois grandes traditions religieuses (*) ont rendu publique cette déclaration publiée sur le site du Monde. Mentionnant le vote de la loi Leonetti en 2005 qui encadrait l’acte médical face à l’euthanasie, ils lancent « un appel commun, inquiet et pressant, pour qu’une éventuelle nouvelle loi ne renonce en aucune façon à ce principe fondateur : toute vie humaine doit être respectée spécialement au moment où elle est le plus fragilisée. » Ils repèrent une nouvelle tentation « de donner la mort, sans l’avouer, en abusant de la “sédation” ». Ils affirment que « c’est au regard porté sur ses membres les plus fragiles qu’on mesure le degré d’humanisation d’une société » plaidant pour un développement de l’accompagnement des personnes en fin de vie. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-J/ [...] [article] Au nom de quoi légaliser un geste de mort? : 9 mars 2015, manifeste des représentants des trois religions monothéistes sur la fin de vie [texte imprimé] . - 2015 . - 114-115 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 114-115 p Résumé : Alors qu’une proposition de loi sur la fin de vie va être discutée à l’Assemblée nationale à partir du 10 mars 2015, les représentants des trois grandes traditions religieuses (*) ont rendu publique cette déclaration publiée sur le site du Monde. Mentionnant le vote de la loi Leonetti en 2005 qui encadrait l’acte médical face à l’euthanasie, ils lancent « un appel commun, inquiet et pressant, pour qu’une éventuelle nouvelle loi ne renonce en aucune façon à ce principe fondateur : toute vie humaine doit être respectée spécialement au moment où elle est le plus fragilisée. » Ils repèrent une nouvelle tentation « de donner la mort, sans l’avouer, en abusant de la “sédation” ». Ils affirment que « c’est au regard porté sur ses membres les plus fragiles qu’on mesure le degré d’humanisation d’une société » plaidant pour un développement de l’accompagnement des personnes en fin de vie. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-J/ [...]

Mgr Pontier s’alarme d’« une forme de laïcisation de la société » / Georges Pontier in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 116-120 p Titre : Mgr Pontier s’alarme d’« une forme de laïcisation de la société » : 17 mars 2015, audition de Mgr Georges Pontier à l’Observatoire de la laïcité Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Pontier, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 116-120 p Langues : Français (fre) Résumé : À la suite des attentats terroristes du début du mois de janvier 2015 à Paris, Mgr Georges Pontier, président de la Conférence des évêques de France, a été invité par l’Observatoire de la laïcité, le 17 mars 2015, à lui présenter les propositions de l’Église catholique en matière de laïcité. Mgr Pontier commence par poser un constat : la laïcité en France, ce « cadre législatif qui précise les relations entre l’État et les religions » et qui garantit la liberté de conscience, la liberté religieuse et la liberté de ne pas croire risque d’être remplacée par « une forme de laïcisation de la société ». L’Église catholique déplore ce fait, car la laïcisation vise à « cantonner l’expression des convictions religieuses des citoyens dans le seul espace privé ». Elle voit, en effet, dans ce confinement des religions à l’espace privé un « soupçon » porté sur celles-ci. Ce qui pourrait conduire les plus fragiles de la société à une forme de radicalisation résultant de cette laïcisation souvent source de problèmes identitaires et de souffrances cachées. D’ailleurs, a poursuivi Mgr Pontier, la multiplication des débats, entre autres, sur le port du voile, la fin de vie, le mariage et le principe de neutralité religieuse comme préalable à l’obtention de subventions ne peuvent que favoriser la radicalisation de ceux qui ne se sentent pas pris en compte. La laïcisation affirme-t-il « engendre un sentiment d’exclusion et de rejet qui produit l’inverse de ce qu’il recherche : la paix sociale et le vivre ensemble ». Aussi a-t-il tenu à exprimer le sentiment de frustration grandissant chez des chrétiens. « Beaucoup de (…) chrétiens sont lassés par l’image qui est donnée du christianisme et des chrétiens ». Pour lutter contre la radicalisation de citoyens, il suggère comme moyens l’éducation par une meilleure connaissance de l’histoire de la France et des religions, le dialogue interreligieux et « l’implication de toutes forces de la nation ». En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-L/ [...] [article] Mgr Pontier s’alarme d’« une forme de laïcisation de la société » : 17 mars 2015, audition de Mgr Georges Pontier à l’Observatoire de la laïcité [texte imprimé] / Georges Pontier, Auteur . - 2015 . - 116-120 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 116-120 p Résumé : À la suite des attentats terroristes du début du mois de janvier 2015 à Paris, Mgr Georges Pontier, président de la Conférence des évêques de France, a été invité par l’Observatoire de la laïcité, le 17 mars 2015, à lui présenter les propositions de l’Église catholique en matière de laïcité. Mgr Pontier commence par poser un constat : la laïcité en France, ce « cadre législatif qui précise les relations entre l’État et les religions » et qui garantit la liberté de conscience, la liberté religieuse et la liberté de ne pas croire risque d’être remplacée par « une forme de laïcisation de la société ». L’Église catholique déplore ce fait, car la laïcisation vise à « cantonner l’expression des convictions religieuses des citoyens dans le seul espace privé ». Elle voit, en effet, dans ce confinement des religions à l’espace privé un « soupçon » porté sur celles-ci. Ce qui pourrait conduire les plus fragiles de la société à une forme de radicalisation résultant de cette laïcisation souvent source de problèmes identitaires et de souffrances cachées. D’ailleurs, a poursuivi Mgr Pontier, la multiplication des débats, entre autres, sur le port du voile, la fin de vie, le mariage et le principe de neutralité religieuse comme préalable à l’obtention de subventions ne peuvent que favoriser la radicalisation de ceux qui ne se sentent pas pris en compte. La laïcisation affirme-t-il « engendre un sentiment d’exclusion et de rejet qui produit l’inverse de ce qu’il recherche : la paix sociale et le vivre ensemble ». Aussi a-t-il tenu à exprimer le sentiment de frustration grandissant chez des chrétiens. « Beaucoup de (…) chrétiens sont lassés par l’image qui est donnée du christianisme et des chrétiens ». Pour lutter contre la radicalisation de citoyens, il suggère comme moyens l’éducation par une meilleure connaissance de l’histoire de la France et des religions, le dialogue interreligieux et « l’implication de toutes forces de la nation ». En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-L/ [...]

Pour Mgr Pontier, on ne peut pas bâtir l’avenir sur l’exclusion et le rejet / Georges Pontier in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 121-125 p Titre : Pour Mgr Pontier, on ne peut pas bâtir l’avenir sur l’exclusion et le rejet : 24 mars 2015, discours d’ouverture de l’Assemblée plénière de printemps par Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Pontier, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 121-125 p Langues : Français (fre) Résumé : Mgr Georges Pontier a ouvert, le 24 mars 2015, les débats de l’Assemblée plénière de printemps de la Conférence des évêques de France (CEF) par un discours faisant un tour d’horizon des grandes questions du moment. Pour l’Église, pour les Français et pour le monde. En rappelant qu’aujourd’hui « beaucoup d’hommes et de femmes vivent le mystère pascal sous sa phase douloureuse » – vie dure, manque de travail, problème de logement ou de santé, ruptures, abandons, peurs et manque de perspectives –, Mgr Georges Pontier a eu une pensée toute particulière pour les « populations trop nombreuses qui vivent en guerre (…) victimes d’exactions odieuses et barbares, d’attentats inqualifiables ». Parmi elles, a-t-il poursuivi, « des frères chrétiens en sont les premières victimes ». « Des forces de mort » qui ont rattrapé notre pays. Faisant référence à la manifestation nationale du 11 janvier consécutive aux attentats terroristes, Mgr Georges Pontier a interrogé :« Quelle société voulons-nous vivre et construire ensemble ? » et s’est inquiété des durcissements apparus dans la société française, notamment vis-à-vis de la religion. Concernant l’Europe, le président de la CEF s’est également inquiété de la « renationalisation de la pensée caractérisée par la méfiance affichée à l’égard de « l’autre ». Le discernement est donc nécessaire, notamment en France en cette période électorale, alors que « divers candidats… ne prennent pas tous en compte de la même manière la recherche du bien commun, le respect de la vie, le souci des plus pauvres et des migrants… ».Et Mgr Georges Pontier de mettre en garde à l’égard de « politiques d’exclusion et de rejet ». Dans son discours, le président de la Conférence des évêques de France a également abordé la Conférence internationale sur les changements climatiques (COP 21) – qui doit se tenir en décembre prochain au Bourget –, et annoncé que « des projets sont en train d’être élaborés pour organiser une présence chrétienne au cœur de cet événement ». Abordés aussi des sujets comme le Synode sur la famille ou le discernement pastoral. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-L/ [...] [article] Pour Mgr Pontier, on ne peut pas bâtir l’avenir sur l’exclusion et le rejet : 24 mars 2015, discours d’ouverture de l’Assemblée plénière de printemps par Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France [texte imprimé] / Georges Pontier, Auteur . - 2015 . - 121-125 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 121-125 p Résumé : Mgr Georges Pontier a ouvert, le 24 mars 2015, les débats de l’Assemblée plénière de printemps de la Conférence des évêques de France (CEF) par un discours faisant un tour d’horizon des grandes questions du moment. Pour l’Église, pour les Français et pour le monde. En rappelant qu’aujourd’hui « beaucoup d’hommes et de femmes vivent le mystère pascal sous sa phase douloureuse » – vie dure, manque de travail, problème de logement ou de santé, ruptures, abandons, peurs et manque de perspectives –, Mgr Georges Pontier a eu une pensée toute particulière pour les « populations trop nombreuses qui vivent en guerre (…) victimes d’exactions odieuses et barbares, d’attentats inqualifiables ». Parmi elles, a-t-il poursuivi, « des frères chrétiens en sont les premières victimes ». « Des forces de mort » qui ont rattrapé notre pays. Faisant référence à la manifestation nationale du 11 janvier consécutive aux attentats terroristes, Mgr Georges Pontier a interrogé :« Quelle société voulons-nous vivre et construire ensemble ? » et s’est inquiété des durcissements apparus dans la société française, notamment vis-à-vis de la religion. Concernant l’Europe, le président de la CEF s’est également inquiété de la « renationalisation de la pensée caractérisée par la méfiance affichée à l’égard de « l’autre ». Le discernement est donc nécessaire, notamment en France en cette période électorale, alors que « divers candidats… ne prennent pas tous en compte de la même manière la recherche du bien commun, le respect de la vie, le souci des plus pauvres et des migrants… ».Et Mgr Georges Pontier de mettre en garde à l’égard de « politiques d’exclusion et de rejet ». Dans son discours, le président de la Conférence des évêques de France a également abordé la Conférence internationale sur les changements climatiques (COP 21) – qui doit se tenir en décembre prochain au Bourget –, et annoncé que « des projets sont en train d’être élaborés pour organiser une présence chrétienne au cœur de cet événement ». Abordés aussi des sujets comme le Synode sur la famille ou le discernement pastoral. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-L/ [...]

Les évêques japonais rappellent la vocation à la paix de l’Église in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)  

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 126-129 p Titre : Les évêques japonais rappellent la vocation à la paix de l’Église : 25 février 2015, un message des évêques catholiques japonais à quelques mois du 70e anniversaire des bombardements atomiques de Hiroshima et de Nagasaki Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 126-129 p Langues : Français (fre) Résumé : 70 ans après les bombardements atomiques de Hiroshima et de Nagasaki, et 50 ans après la fin du concile Vatican II, l’épiscopat japonais a publié, le 25 février 2015, un message afin de réaffirmer sa « vocation particulière à travailler pour la paix ». Après les terribles tragédies du XXe siècle et suite au travail et à la réflexion du concile Vatican II, en tant que chrétiens « nous avons pris conscience que les problèmes de l’humanité sont nos problèmes », écrivent les évêques catholiques japonais. Particulièrement ceux ayant trait à la guerre et à la paix. À la suite des terribles expériences historiques du Japon – domination coloniale en Asie, crimes contre l’humanité perpétrés par l’armée impériale, meurtrière bataille d’Okinawa, arme atomique sur Hiroshima et Nagasaki –, un fort désir de paix s’est emparé du peuple japonais, notamment au moment de la promulgation de la Constitution pacifique de 1946, expliquent-ils. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-L/ [...] [article] Les évêques japonais rappellent la vocation à la paix de l’Église : 25 février 2015, un message des évêques catholiques japonais à quelques mois du 70e anniversaire des bombardements atomiques de Hiroshima et de Nagasaki [texte imprimé] . - 2015 . - 126-129 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 126-129 p Résumé : 70 ans après les bombardements atomiques de Hiroshima et de Nagasaki, et 50 ans après la fin du concile Vatican II, l’épiscopat japonais a publié, le 25 février 2015, un message afin de réaffirmer sa « vocation particulière à travailler pour la paix ». Après les terribles tragédies du XXe siècle et suite au travail et à la réflexion du concile Vatican II, en tant que chrétiens « nous avons pris conscience que les problèmes de l’humanité sont nos problèmes », écrivent les évêques catholiques japonais. Particulièrement ceux ayant trait à la guerre et à la paix. À la suite des terribles expériences historiques du Japon – domination coloniale en Asie, crimes contre l’humanité perpétrés par l’armée impériale, meurtrière bataille d’Okinawa, arme atomique sur Hiroshima et Nagasaki –, un fort désir de paix s’est emparé du peuple japonais, notamment au moment de la promulgation de la Constitution pacifique de 1946, expliquent-ils. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2519-L/ [...]

Hiérarchie in La Documentation catholique, n°2519 (Juillet 2015)

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inLa Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 130-138 p Titre : Hiérarchie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Article en page(s) : 130-138 p Langues : Français (fre) [article] Hiérarchie [texte imprimé] . - 2015 . - 130-138 p. Langues : Français (fre) in La Documentation catholique > n°2519 (Juillet 2015) . - 130-138 p