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Des amours de différentes sortes. Féminisme, nature et anthropologie / Michèle Schumacher in Revue d'éthique et de théologie morale, n°290 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Des amours de différentes sortes. Féminisme, nature et anthropologie : Qu’est-ce que l’amour peut bien avoir à faire avec tout cela ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle Schumacher, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 11 - 33 Langues : Français (fre) Résumé : Valerie Saiving posa les premiers jalons d’une théologie féministe qui aura permis indirectement de critiquer certaines options de Jean- Paul II en dénonçant, par exemple, le point de vue « mâle ». Humanae Vitae pourrait aussi être lu en ce sens. Le thème de la nature préconçue par le Créateur ou celui de la nature métaphysique de l’amour serait aussi à prolonger à l’aide des apports de la théologie féministe. Nous nous orientons plus vers une valorisation positive de l’amour que vers une négation de soi, ce que Benoît XVI avait bien perçu. La théologie féministe nous force à penser à nouveaux frais la tension entre réalisation de soi et salut. Le don de soi que Wojtyla ou Balthasar ont placé au centre de leurs réflexions peut aussi se voir enrichi de la sorte. Enfin, le thème de la complémentarité homme/femme doit éviter les écueils d’une théologie élaborée sans les femmes. En ligne : http://www.cairn.info/revue-d-ethique-et-de-theologie-morale-2016-3-page-11.htm
in Revue d'éthique et de théologie morale > n°290 (Septembre 2016) . - p. 11 - 33[article] Des amours de différentes sortes. Féminisme, nature et anthropologie : Qu’est-ce que l’amour peut bien avoir à faire avec tout cela ? [texte imprimé] / Michèle Schumacher, Auteur . - 2016 . - p. 11 - 33.
Langues : Français (fre)
in Revue d'éthique et de théologie morale > n°290 (Septembre 2016) . - p. 11 - 33
Résumé : Valerie Saiving posa les premiers jalons d’une théologie féministe qui aura permis indirectement de critiquer certaines options de Jean- Paul II en dénonçant, par exemple, le point de vue « mâle ». Humanae Vitae pourrait aussi être lu en ce sens. Le thème de la nature préconçue par le Créateur ou celui de la nature métaphysique de l’amour serait aussi à prolonger à l’aide des apports de la théologie féministe. Nous nous orientons plus vers une valorisation positive de l’amour que vers une négation de soi, ce que Benoît XVI avait bien perçu. La théologie féministe nous force à penser à nouveaux frais la tension entre réalisation de soi et salut. Le don de soi que Wojtyla ou Balthasar ont placé au centre de leurs réflexions peut aussi se voir enrichi de la sorte. Enfin, le thème de la complémentarité homme/femme doit éviter les écueils d’une théologie élaborée sans les femmes. En ligne : http://www.cairn.info/revue-d-ethique-et-de-theologie-morale-2016-3-page-11.htm
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