La Documentation catholique / Frappat, Bruno (1945-....) . n°2529Mention de date : Janvier 2018 Paru le : 01/01/2018 |
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n°2529 - Janvier 2018 - Face à un avenir différent, élaborer autrement l'éducation [texte imprimé] . - 2018. Langues : Français (fre) |
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Ajouter le résultat dans votre panierEducation et mission / Isabelle Gaulmyn (de) in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Education et mission Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Gaulmyn (de), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 3 Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 3[article] Education et mission [texte imprimé] / Isabelle Gaulmyn (de), Auteur . - 2018 . - p. 3.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 3Congrégation pour l’éducation catholique : Éduquer à l’humanisme solidaire in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Congrégation pour l’éducation catholique : Éduquer à l’humanisme solidaire : 16 avril 2017, orientations de la Congrégation pour l’éducation catholique Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 5-13 Langues : Français (fre) Résumé : Le 22 septembre 2017 était présenté le document « Éduquer à l’humanisme solidaire », pour construire une « civilisation de l’amour », élaboré pour le 50e anniversaire de la Déclaration conciliaire sur l’éducation chrétienne Gravissimum educationis (1965-2015) et le 50e anniversaire de l’encyclique du pape Paul VI Populorum progressio (1967-2017). Par ce document, la Congrégation pour l’éducation catholique vise à proposer les grandes lignes de l’éducation à l’humanisme solidaire, selon sept axes : Scénarios actuels ; Humaniser l’éducation ; Culture du dialogue ; Globaliser l’espérance ; Pour une véritable inclusion ; Réseaux de coopération ; Perspectives En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documentation-catholique/Saint-Siege/Congr [...]
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 5-13[article] Congrégation pour l’éducation catholique : Éduquer à l’humanisme solidaire : 16 avril 2017, orientations de la Congrégation pour l’éducation catholique [texte imprimé] . - 2018 . - p. 5-13.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 5-13
Résumé : Le 22 septembre 2017 était présenté le document « Éduquer à l’humanisme solidaire », pour construire une « civilisation de l’amour », élaboré pour le 50e anniversaire de la Déclaration conciliaire sur l’éducation chrétienne Gravissimum educationis (1965-2015) et le 50e anniversaire de l’encyclique du pape Paul VI Populorum progressio (1967-2017). Par ce document, la Congrégation pour l’éducation catholique vise à proposer les grandes lignes de l’éducation à l’humanisme solidaire, selon sept axes : Scénarios actuels ; Humaniser l’éducation ; Culture du dialogue ; Globaliser l’espérance ; Pour une véritable inclusion ; Réseaux de coopération ; Perspectives En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documentation-catholique/Saint-Siege/Congr [...] “Vers un avenir différent, élaborer une éducation autrement” / Arturo Sosa Abascal in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : “Vers un avenir différent, élaborer une éducation autrement” : 20 octobre 2017, intervention du père Arturo Sosa, supérieur général des jésuites, au congrès « Jesedu-Rio2017 » Type de document : texte imprimé Auteurs : Arturo Sosa Abascal, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 14-25 Langues : Français (fre) Résumé : Le 20 octobre 2017, le père Arturo Sosa, supérieur général des jésuites, est longuement intervenu au congrès international des délégués à l’éducation de la Compagnie de Jésus, le « Jesedu-Rio2017 ». L’événement, organisé par la fédération latino-américaine de l’ordre et l’association brésilienne des collèges jésuites sous l’intitulé : « L’éducation dans la Compagnie : une pédagogie au service de la formation d’un être humain réconcilié avec ses pairs, avec la création et avec Dieu », s’est tenu à Rio de Janeiro du 16 au 20 octobre. Avant de présenter les principaux défis d’une éducation tournée vers le futur, le père Sosa a relevé six points « emblématiques d’un changement d’époque ». Les changements démographiques et les migrations ; les inégalités sociales croissantes ; l’intensification des polarisations et des conflits ; la crise écologique qui affecte notre planète ; l’expansion de la culture du digital ; l’affaiblissement de la politique en tant que recherche du bien commun. Pour le supérieur général des jésuites, servir la réconciliation, comme l’a souhaité la 36e Congrégation générale de la Compagnie, commence « par comprendre le monde dans lequel nous vivons » et, de la part des éducateurs, « à aider les jeunes générations à se situer face à ce monde ». Dans la perspective d’une éducation tournée vers le futur, le père Sosa a donc mentionné les défis que vont devoir affronter les institutions éducatives des jésuites. Pour lui, il est tout d’abord urgent de transformer ces institutions « en espaces de recherche pédagogique et en véritables laboratoires d’innovation didactique ». Nous devons être conscients, a-t-il insisté, « du changement anthropologique et culturel dont nous sommes les témoins », et les institutions doivent « savoir éduquer et former autrement en vue d’un avenir différent ». Le père Sosa a également souligné le devoir d’avancer vers une éducation pour la justice (« s’approcher des plus pauvres, former une conscience critique et intelligente des facteurs d’iniquité… ») et d’offrir aux étudiants une formation qui intègre la dimension écologique de la réconciliation. Après avoir abordé la protection des personnes vulnérables confiées aux institutions de la Compagnie de Jésus puis de la proposition d’une formation religieuse qui « ouvre à la dimension transcendantale de la vie… », il a mis en avant le concept de « citoyenneté globale ». « Notre présence dans tant de lieux et cultures du monde nous permet de créer et de développer des propositions de formation fondées sur une vision interculturelle de ce monde où tous les êtres humains et leurs peuples détiennent une “citoyenneté globale”. » En ce sens, il a souhaité la mise en place d’un réseau global et interculturel des institutions éducatives afin de permettre aux jeunes de « rêver un monde nouveau qui soit plus réconcilié, plus juste et qui se tienne en harmonie avec la création ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-17-1200892716
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 14-25[article] “Vers un avenir différent, élaborer une éducation autrement” : 20 octobre 2017, intervention du père Arturo Sosa, supérieur général des jésuites, au congrès « Jesedu-Rio2017 » [texte imprimé] / Arturo Sosa Abascal, Auteur . - 2018 . - p. 14-25.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 14-25
Résumé : Le 20 octobre 2017, le père Arturo Sosa, supérieur général des jésuites, est longuement intervenu au congrès international des délégués à l’éducation de la Compagnie de Jésus, le « Jesedu-Rio2017 ». L’événement, organisé par la fédération latino-américaine de l’ordre et l’association brésilienne des collèges jésuites sous l’intitulé : « L’éducation dans la Compagnie : une pédagogie au service de la formation d’un être humain réconcilié avec ses pairs, avec la création et avec Dieu », s’est tenu à Rio de Janeiro du 16 au 20 octobre. Avant de présenter les principaux défis d’une éducation tournée vers le futur, le père Sosa a relevé six points « emblématiques d’un changement d’époque ». Les changements démographiques et les migrations ; les inégalités sociales croissantes ; l’intensification des polarisations et des conflits ; la crise écologique qui affecte notre planète ; l’expansion de la culture du digital ; l’affaiblissement de la politique en tant que recherche du bien commun. Pour le supérieur général des jésuites, servir la réconciliation, comme l’a souhaité la 36e Congrégation générale de la Compagnie, commence « par comprendre le monde dans lequel nous vivons » et, de la part des éducateurs, « à aider les jeunes générations à se situer face à ce monde ». Dans la perspective d’une éducation tournée vers le futur, le père Sosa a donc mentionné les défis que vont devoir affronter les institutions éducatives des jésuites. Pour lui, il est tout d’abord urgent de transformer ces institutions « en espaces de recherche pédagogique et en véritables laboratoires d’innovation didactique ». Nous devons être conscients, a-t-il insisté, « du changement anthropologique et culturel dont nous sommes les témoins », et les institutions doivent « savoir éduquer et former autrement en vue d’un avenir différent ». Le père Sosa a également souligné le devoir d’avancer vers une éducation pour la justice (« s’approcher des plus pauvres, former une conscience critique et intelligente des facteurs d’iniquité… ») et d’offrir aux étudiants une formation qui intègre la dimension écologique de la réconciliation. Après avoir abordé la protection des personnes vulnérables confiées aux institutions de la Compagnie de Jésus puis de la proposition d’une formation religieuse qui « ouvre à la dimension transcendantale de la vie… », il a mis en avant le concept de « citoyenneté globale ». « Notre présence dans tant de lieux et cultures du monde nous permet de créer et de développer des propositions de formation fondées sur une vision interculturelle de ce monde où tous les êtres humains et leurs peuples détiennent une “citoyenneté globale”. » En ce sens, il a souhaité la mise en place d’un réseau global et interculturel des institutions éducatives afin de permettre aux jeunes de « rêver un monde nouveau qui soit plus réconcilié, plus juste et qui se tienne en harmonie avec la création ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-17-1200892716 Instruction des réfugiés, conscience critique... le rôle des universités catholiques / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Instruction des réfugiés, conscience critique... le rôle des universités catholiques : 4 novembre 2017, discours à la conférence des universités catholiques au niveau international Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 26-28 Langues : Français (fre) Résumé : À l’issue de leurs travaux, le pape François a reçu, le 4 novembre 2017, à la Salle du Consistoire, les participants à la conférence organisée par la fédération internationale des universités catholiques sur les réfugiés et les migrants. Le pape les a félicités pour l’intérêt qu’ils portent à la question des migrations. L’éducation catholique, a-t-il rappelé, vise aussi à former des personnes en vue de « la construction d’un monde plus juste et plus humain ». Aussi, les a-t-il invités à mettre leurs compétences dans le domaine de la recherche, de l’enseignement et de la promotion sociale au service du problème crucial des migrations. Il a notamment appelé les universités catholiques à étudier les « causes éloignées (…) et à approfondir la réflexion théologique sur les migrations ». Il leur a aussi demandé de « favoriser l’instruction des réfugiés à divers niveaux ». Enfin, le pape a souligné l’importance de former les étudiants « à une lecture attentive du phénomène migratoire dans une perspective de justice, de coresponsabilité mondiale et de communion dans la diversité culturelle ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200892464
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 26-28[article] Instruction des réfugiés, conscience critique... le rôle des universités catholiques : 4 novembre 2017, discours à la conférence des universités catholiques au niveau international [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 26-28.
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in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 26-28
Résumé : À l’issue de leurs travaux, le pape François a reçu, le 4 novembre 2017, à la Salle du Consistoire, les participants à la conférence organisée par la fédération internationale des universités catholiques sur les réfugiés et les migrants. Le pape les a félicités pour l’intérêt qu’ils portent à la question des migrations. L’éducation catholique, a-t-il rappelé, vise aussi à former des personnes en vue de « la construction d’un monde plus juste et plus humain ». Aussi, les a-t-il invités à mettre leurs compétences dans le domaine de la recherche, de l’enseignement et de la promotion sociale au service du problème crucial des migrations. Il a notamment appelé les universités catholiques à étudier les « causes éloignées (…) et à approfondir la réflexion théologique sur les migrations ». Il leur a aussi demandé de « favoriser l’instruction des réfugiés à divers niveaux ». Enfin, le pape a souligné l’importance de former les étudiants « à une lecture attentive du phénomène migratoire dans une perspective de justice, de coresponsabilité mondiale et de communion dans la diversité culturelle ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200892464 “La Colombie a besoin de la participation de tous” / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : “La Colombie a besoin de la participation de tous” : 7 septembre 2017, rencontre du pape François avec les autorités colombiennes Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 29-31 Langues : Français (fre) Résumé : Le 7 septembre 2017, au commencement de son voyage apostolique en Colombie, le pape François a réservé son premier discours aux autorités du pays en présence du président de la République, Juan manuel Santos. Rencontre qui s’est déroulée Plaza de Armas de la Casa de Nariño à Bogota, la capitale colombienne. Lors de son intervention, le pape François a notamment confié son appréciation « pour les efforts faits tout au long des dernières décennies, pour mettre fin à la violence armée et trouver des chemins de réconciliation ». « Que cet effort nous fasse fuir toute tentation de vengeance et de recherche d’intérêts uniquement particuliers et à court terme ! », a-t-il insisté. Il a encouragé les autorités et le peuple colombien dans son ensemble « à poser le regard sur tous ceux qui, aujourd’hui, sont exclus et marginalisés par la société, ceux qui ne comptent pas pour la majorité et qui sont repoussés et mis à l’écart ». « Nous sommes tous nécessaires pour créer et former la société. » « La Colombie a besoin de la participation de tous pour s’ouvrir à l’avenir avec espérance », a encore affirmé le pape François. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200875067
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 29-31[article] “La Colombie a besoin de la participation de tous” : 7 septembre 2017, rencontre du pape François avec les autorités colombiennes [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 29-31.
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in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 29-31
Résumé : Le 7 septembre 2017, au commencement de son voyage apostolique en Colombie, le pape François a réservé son premier discours aux autorités du pays en présence du président de la République, Juan manuel Santos. Rencontre qui s’est déroulée Plaza de Armas de la Casa de Nariño à Bogota, la capitale colombienne. Lors de son intervention, le pape François a notamment confié son appréciation « pour les efforts faits tout au long des dernières décennies, pour mettre fin à la violence armée et trouver des chemins de réconciliation ». « Que cet effort nous fasse fuir toute tentation de vengeance et de recherche d’intérêts uniquement particuliers et à court terme ! », a-t-il insisté. Il a encouragé les autorités et le peuple colombien dans son ensemble « à poser le regard sur tous ceux qui, aujourd’hui, sont exclus et marginalisés par la société, ceux qui ne comptent pas pour la majorité et qui sont repoussés et mis à l’écart ». « Nous sommes tous nécessaires pour créer et former la société. » « La Colombie a besoin de la participation de tous pour s’ouvrir à l’avenir avec espérance », a encore affirmé le pape François. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200875067 “la Colombie a besoin de votre regard pour la soutenir vers la paix définitive” / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : “la Colombie a besoin de votre regard pour la soutenir vers la paix définitive” : 7 septembre 2017, rencontre du pape François avec les évêques de Colombie Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 32-38 Langues : Français (fre) Résumé : Le Pape François a rencontré, le 7 septembre 2017, au palais épiscopal de Bogota la quasi-totalité des 130 évêques de Colombie, auxquels il a délivré une invitation vigoureuse à œuvrer pour la paix et pour l’unité du pays. Il les a invités à se lever frontalement contre les plaies qui minent la nation colombienne, notamment la violence, la corruption et le narcotrafic. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200875285
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 32-38[article] “la Colombie a besoin de votre regard pour la soutenir vers la paix définitive” : 7 septembre 2017, rencontre du pape François avec les évêques de Colombie [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 32-38.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 32-38
Résumé : Le Pape François a rencontré, le 7 septembre 2017, au palais épiscopal de Bogota la quasi-totalité des 130 évêques de Colombie, auxquels il a délivré une invitation vigoureuse à œuvrer pour la paix et pour l’unité du pays. Il les a invités à se lever frontalement contre les plaies qui minent la nation colombienne, notamment la violence, la corruption et le narcotrafic. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200875285 Le pape François invite les évêques du Celam à servir l’Église avec passion / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Le pape François invite les évêques du Celam à servir l’Église avec passion : 7 septembre 2017, discours du pape François aux membres du comité directeur du Celam Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 39-44 Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 39-44[article] Le pape François invite les évêques du Celam à servir l’Église avec passion : 7 septembre 2017, discours du pape François aux membres du comité directeur du Celam [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 39-44.
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in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 39-44“Je voudrais pleurer avec vous... prions et pardonnons” / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : “Je voudrais pleurer avec vous... prions et pardonnons” : 8 septembre 2017, discours et prière du pape François pour la Réconciliation nationale Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 45-48 Langues : Français (fre) Résumé : C’est dans l’après midi du 8 septembre 2017 que le pape François a participé à la Rencontre pour la réconciliation nationale, en présence du président de la République Juan Manuel Santos avec plus de 6000 personnes. Après le chant du psaume 85, puis un chant pour la paix, quatre personnes (1) ont donné leur témoignage. Puis Mgr Oscar Urbina Ortega, archevêque de Villavicencio, a introduit le geste de paix, évoquant la souffrance des familles et des communautés touchées par le conflit armé. Puis le pape a invité chacun a posé un geste de paix, premier pas sur le chemin de la réconciliation. Il a ensuite pris la parole expliquant la raison de sa présence : « pour être près de vous, vous regarder dans les yeux, pour vous écouter, ouvrir mon cœur à votre témoignage de vie et de foi » et cela, « aux pieds du crucifix de Bojaya » témoin des massacres de 2002. S’adressant tour à tour, et personnellement, aux quatre personnes ayant donné leur témoignage, le pape, très ému, a souligné ensuite à l’assemblée, au peuple colombien, combien il « est indispensable d’assumer la vérité, (...) compagne indissociable de la justice et de la miséricorde » pour construire la paix. Il a terminé son intervention ensuite par une prière adressée au Christ crucifié. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200875858
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 45-48[article] “Je voudrais pleurer avec vous... prions et pardonnons” : 8 septembre 2017, discours et prière du pape François pour la Réconciliation nationale [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 45-48.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 45-48
Résumé : C’est dans l’après midi du 8 septembre 2017 que le pape François a participé à la Rencontre pour la réconciliation nationale, en présence du président de la République Juan Manuel Santos avec plus de 6000 personnes. Après le chant du psaume 85, puis un chant pour la paix, quatre personnes (1) ont donné leur témoignage. Puis Mgr Oscar Urbina Ortega, archevêque de Villavicencio, a introduit le geste de paix, évoquant la souffrance des familles et des communautés touchées par le conflit armé. Puis le pape a invité chacun a posé un geste de paix, premier pas sur le chemin de la réconciliation. Il a ensuite pris la parole expliquant la raison de sa présence : « pour être près de vous, vous regarder dans les yeux, pour vous écouter, ouvrir mon cœur à votre témoignage de vie et de foi » et cela, « aux pieds du crucifix de Bojaya » témoin des massacres de 2002. S’adressant tour à tour, et personnellement, aux quatre personnes ayant donné leur témoignage, le pape, très ému, a souligné ensuite à l’assemblée, au peuple colombien, combien il « est indispensable d’assumer la vérité, (...) compagne indissociable de la justice et de la miséricorde » pour construire la paix. Il a terminé son intervention ensuite par une prière adressée au Christ crucifié. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200875858 “Accompagner, discerner, intégrer” : les orientations pastorales des évêques siciliens sur Amoris laetitia in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : “Accompagner, discerner, intégrer” : les orientations pastorales des évêques siciliens sur Amoris laetitia : 4 juin 2017, orientations pastorales des évêques de Sicile à partir du chapitre VIII d’Amoris laetitia Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 49-56 Langues : Français (fre) Résumé : Le chapitre VIII de l’exhortation apostolique Amoris laetitia du pape François invite l’Église à accompagner, discerner et intégrer la fragilité des personnes dont l’amour est blessé. Prenant cette invitation à son compte, la Conférence des évêques de Sicile a rendu publiques, le 4 juin 2017, ses orientations pastorales visant à aider les familles « à redécouvrir la joie de l’amour ». Les évêques siciliens réaffirment que le sacrement du mariage est « la forme culminante de toute relation entre l’homme et la femme ». Cependant, soulignent-ils, le sacrement du mariage et la famille se trouvent marqués par des changements historiques qui les fragilisent. Afin d’apporter des réponses adaptées aux diverses situations qu’ils rencontrent, les évêques siciliens ont entrepris de décliner dans leurs orientations pastorales ce qu’ils attendent des agents pastoraux en termes d’accompagnement, de discernement et d’intégration. Pour eux, accompagner c’est exprimer la charité de l’Église envers les familles traversant des crises matrimoniales, expliquent-ils, sans pour autant renoncer à l’indissolubilité du mariage. Dans le discernement, ils appellent à distinguer le for interne sacramentel du for interne non sacramentel. Le but du discernement étant, rappellent-ils, d’intégrer au sein des communautés, les personnes qui, à cause de leur situation matrimoniale, en étaient exclues. Pour finir, les évêques siciliens précisent qu’en publiant ces orientations, ils veulent aussi prévenir tout rigorisme ou laxisme dans l’interprétation du chapitre VIII d’Amoris laetitia. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200883388
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 49-56[article] “Accompagner, discerner, intégrer” : les orientations pastorales des évêques siciliens sur Amoris laetitia : 4 juin 2017, orientations pastorales des évêques de Sicile à partir du chapitre VIII d’Amoris laetitia [texte imprimé] . - 2018 . - p. 49-56.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 49-56
Résumé : Le chapitre VIII de l’exhortation apostolique Amoris laetitia du pape François invite l’Église à accompagner, discerner et intégrer la fragilité des personnes dont l’amour est blessé. Prenant cette invitation à son compte, la Conférence des évêques de Sicile a rendu publiques, le 4 juin 2017, ses orientations pastorales visant à aider les familles « à redécouvrir la joie de l’amour ». Les évêques siciliens réaffirment que le sacrement du mariage est « la forme culminante de toute relation entre l’homme et la femme ». Cependant, soulignent-ils, le sacrement du mariage et la famille se trouvent marqués par des changements historiques qui les fragilisent. Afin d’apporter des réponses adaptées aux diverses situations qu’ils rencontrent, les évêques siciliens ont entrepris de décliner dans leurs orientations pastorales ce qu’ils attendent des agents pastoraux en termes d’accompagnement, de discernement et d’intégration. Pour eux, accompagner c’est exprimer la charité de l’Église envers les familles traversant des crises matrimoniales, expliquent-ils, sans pour autant renoncer à l’indissolubilité du mariage. Dans le discernement, ils appellent à distinguer le for interne sacramentel du for interne non sacramentel. Le but du discernement étant, rappellent-ils, d’intégrer au sein des communautés, les personnes qui, à cause de leur situation matrimoniale, en étaient exclues. Pour finir, les évêques siciliens précisent qu’en publiant ces orientations, ils veulent aussi prévenir tout rigorisme ou laxisme dans l’interprétation du chapitre VIII d’Amoris laetitia. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200883388 La Conférence des évêques suisses renouvelle la pastorale du mariage à la suite d’Amoris laetitia in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : La Conférence des évêques suisses renouvelle la pastorale du mariage à la suite d’Amoris laetitia : 5 septembre 2017, message de la Conférence des évêques suisses à l’adresse des agents pastoraux, prêtres, diacres et laïcs Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 57-63 Langues : Français (fre) Résumé : Le 5 septembre 2017, les évêques et abbés territoriaux de Suisse ont publié un message intitulé « Pour un renouvellement de la pastorale du mariage et des familles à la lumière d’Amoris laetitia : une bonne nouvelle pour tou (te) s ». Ils proposent « quelques orientations générales, invitant chaque diocèse et région à les inculturer plus spécifiquement dans son contexte ». Le message se décompose en neuf parties, dont les trois premières sont un constat : « Dans l’action de grâce » ; « Un accent nouveau : apprendre à accueillir » ; « L’intention pastorale de toute doctrine ». Les suivantes soulignent « un certain nombre d’attitudes et “compétences” pastorales à acquérir et développer » : « Apprendre à regarder » ; « Apprendre à accompagner » ; « Apprendre à discerner » ; « Apprendre à intégrer ». Les évêques énoncent les implications pastorales que suppose Amoris laetitia et se réjouissent de ce qu’il puisse devenir « un parcours de croissance pour tous »
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 57-63[article] La Conférence des évêques suisses renouvelle la pastorale du mariage à la suite d’Amoris laetitia : 5 septembre 2017, message de la Conférence des évêques suisses à l’adresse des agents pastoraux, prêtres, diacres et laïcs [texte imprimé] . - 2018 . - p. 57-63.
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in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 57-63
Résumé : Le 5 septembre 2017, les évêques et abbés territoriaux de Suisse ont publié un message intitulé « Pour un renouvellement de la pastorale du mariage et des familles à la lumière d’Amoris laetitia : une bonne nouvelle pour tou (te) s ». Ils proposent « quelques orientations générales, invitant chaque diocèse et région à les inculturer plus spécifiquement dans son contexte ». Le message se décompose en neuf parties, dont les trois premières sont un constat : « Dans l’action de grâce » ; « Un accent nouveau : apprendre à accueillir » ; « L’intention pastorale de toute doctrine ». Les suivantes soulignent « un certain nombre d’attitudes et “compétences” pastorales à acquérir et développer » : « Apprendre à regarder » ; « Apprendre à accompagner » ; « Apprendre à discerner » ; « Apprendre à intégrer ». Les évêques énoncent les implications pastorales que suppose Amoris laetitia et se réjouissent de ce qu’il puisse devenir « un parcours de croissance pour tous » “une vision ouverte et attrayante de l’amour humain” / Marc Ouellet in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : “une vision ouverte et attrayante de l’amour humain” : 25 septembre 2017, intervention du cardinal Ouellet devant les évêques canadiens Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Ouellet, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 64-72 Langues : Français (fre) Résumé : Le 25 septembre 2017, le cardinal Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques, a donné une conférence sur l’exhortation apostolique du pape François, Amoris laetitia, lors de l’Assemblée plénière des évêques canadiens réunie à Cornwall, Ontario. Conférence ouverte aux médias. En premier lieu, le cardinal Ouellet a tenu à préciser qu’il fallait bien avoir en vue « la vision biblique et théologique qui traverse tout le document ». C’est elle qui « en assure la profondeur, l’originalité et la juste interprétation face aux réductions de sens imposées par des lectures superficielles ». Amoris laetitia vaut la peine d’être lue et relue, a-t-il poursuivi, et « mérite plus d’attention en elle-même que le débat public sur les points controversés ». À ce propos, soulignant la publication par plusieurs conférences épiscopales « d’orientations plus précises pour leur contexte, par souci de clarté et d’inculturation », il a jugé qu’un tel exercice lui apparaissait « particulièrement nécessaire et urgent au Canada où l’on constate un écart béant entre l’enseignement officiel de l’Église et le vécu des couples et des familles »… Pour le préfet de la Congrégation pour les évêques, le thème de la famille méritait « non seulement une attention renouvelée face à l’évolution des cultures, mais aussi une nouvelle méthode pastorale que le pape François a résumée en trois verbes : accompagner, discerner, intégrer ». L’une des contributions majeures de l’exhortation apostolique, a-t-il également affirmé, « est de développer et d’approfondir la réflexion de l’Église sur la “loi de la gradualité” qui n’avait pas reçu suffisamment d’attention jusqu’ici… » Un approfondissement théologique et pastoral rendu urgent face au « déclin accéléré du mariage et de la famille en Occident (…) au cours des trente dernières années ». La force du message d’Amoris laetitia est de proposer « une vision ouverte et attrayante de l’amour humain », a encore souligné le cardinal Ouellet. Un amour « reflet de la communion trinitaire, enveloppé de miséricorde et donc riche d’espérance ». Il a également rappelé que la famille était « la route et l’oasis de l’humanité en notre temps, où le Christ et l’Église se rencontrent et s’établissent à demeure… » Le cardinal a salué l’assistance en anglais, salutation reproduite ci-dessous, avant de s’exprimer en français, « ma langue maternelle »… En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200881521
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 64-72[article] “une vision ouverte et attrayante de l’amour humain” : 25 septembre 2017, intervention du cardinal Ouellet devant les évêques canadiens [texte imprimé] / Marc Ouellet, Auteur . - 2018 . - p. 64-72.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 64-72
Résumé : Le 25 septembre 2017, le cardinal Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques, a donné une conférence sur l’exhortation apostolique du pape François, Amoris laetitia, lors de l’Assemblée plénière des évêques canadiens réunie à Cornwall, Ontario. Conférence ouverte aux médias. En premier lieu, le cardinal Ouellet a tenu à préciser qu’il fallait bien avoir en vue « la vision biblique et théologique qui traverse tout le document ». C’est elle qui « en assure la profondeur, l’originalité et la juste interprétation face aux réductions de sens imposées par des lectures superficielles ». Amoris laetitia vaut la peine d’être lue et relue, a-t-il poursuivi, et « mérite plus d’attention en elle-même que le débat public sur les points controversés ». À ce propos, soulignant la publication par plusieurs conférences épiscopales « d’orientations plus précises pour leur contexte, par souci de clarté et d’inculturation », il a jugé qu’un tel exercice lui apparaissait « particulièrement nécessaire et urgent au Canada où l’on constate un écart béant entre l’enseignement officiel de l’Église et le vécu des couples et des familles »… Pour le préfet de la Congrégation pour les évêques, le thème de la famille méritait « non seulement une attention renouvelée face à l’évolution des cultures, mais aussi une nouvelle méthode pastorale que le pape François a résumée en trois verbes : accompagner, discerner, intégrer ». L’une des contributions majeures de l’exhortation apostolique, a-t-il également affirmé, « est de développer et d’approfondir la réflexion de l’Église sur la “loi de la gradualité” qui n’avait pas reçu suffisamment d’attention jusqu’ici… » Un approfondissement théologique et pastoral rendu urgent face au « déclin accéléré du mariage et de la famille en Occident (…) au cours des trente dernières années ». La force du message d’Amoris laetitia est de proposer « une vision ouverte et attrayante de l’amour humain », a encore souligné le cardinal Ouellet. Un amour « reflet de la communion trinitaire, enveloppé de miséricorde et donc riche d’espérance ». Il a également rappelé que la famille était « la route et l’oasis de l’humanité en notre temps, où le Christ et l’Église se rencontrent et s’établissent à demeure… » Le cardinal a salué l’assistance en anglais, salutation reproduite ci-dessous, avant de s’exprimer en français, « ma langue maternelle »… En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200881521
[article]
Titre : Motu proprio Magnum principium : 9 septembre 2017, motu proprio Magnum Principium du pape François Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 73-75 Langues : Français (fre) Résumé : La Salle de presse du Saint-Siège a rendu public le 9 septembre 2017, un motu proprio du pape François intitulé Magnum principum et portant modification du n. 838 du Code de droit canonique. Dans la version précédente de ce numéro du droit canonique, c’est au Siège apostolique qu’il revenait d’approuver et d’autoriser (les) « traductions en langues vernaculaires et de veiller à ce que les règles liturgiques soient fidèlement observées partout » (1). Afin de poursuivre « le renouveau de la vie liturgique tout entière (… et réaffirmer clairement) certains principes transmis depuis le Concile (…) et mis en pratique », le pape confie désormais aux Conférences épiscopales la responsabilité de traduire, d’approuver et de publier les textes liturgiques « pour les régions relevant de leur compétence, après confirmation par le Siège apostolique ». Un changement qui renforce les attributions des Conférences épiscopales. Le pape a invité la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements à les aider à remplir leur nouvelle mission. Ce changement important pour les Conférences épiscopales rentre en vigueur dès le 1er octobre 2017. Exclusif, La Documentation catholique en propose la traduction en français. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200876231
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 73-75[article] Motu proprio Magnum principium : 9 septembre 2017, motu proprio Magnum Principium du pape François [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 73-75.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 73-75
Résumé : La Salle de presse du Saint-Siège a rendu public le 9 septembre 2017, un motu proprio du pape François intitulé Magnum principum et portant modification du n. 838 du Code de droit canonique. Dans la version précédente de ce numéro du droit canonique, c’est au Siège apostolique qu’il revenait d’approuver et d’autoriser (les) « traductions en langues vernaculaires et de veiller à ce que les règles liturgiques soient fidèlement observées partout » (1). Afin de poursuivre « le renouveau de la vie liturgique tout entière (… et réaffirmer clairement) certains principes transmis depuis le Concile (…) et mis en pratique », le pape confie désormais aux Conférences épiscopales la responsabilité de traduire, d’approuver et de publier les textes liturgiques « pour les régions relevant de leur compétence, après confirmation par le Siège apostolique ». Un changement qui renforce les attributions des Conférences épiscopales. Le pape a invité la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements à les aider à remplir leur nouvelle mission. Ce changement important pour les Conférences épiscopales rentre en vigueur dès le 1er octobre 2017. Exclusif, La Documentation catholique en propose la traduction en français. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200876231 La réponse du pape François au cardinal Sarah à propos du motu proprio Magnum principium / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : La réponse du pape François au cardinal Sarah à propos du motu proprio Magnum principium : 15 octobre 2017, lettre du pape François au cardinal Sarah au sujet du motu proprio Magnum principium Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 76-78 Langues : Français (fre) Résumé : Le Vatican a rendu public, le dimanche 22 octobre 2017, une lettre du pape François – en date du 15 octobre 2017 – adressée au cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, à propos du motu proprio Magnum principium sur les traductions liturgiques. Le pape François tenait à faire « certaines observations » importantes sur une note intitulée « Commentaire » attribuée au cardinal Sarah, note dont le but « est une compréhension meilleure du texte ». Ainsi, réaffirme-t-il que le nouveau can. 838 du motu proprio, par le biais de la distinction entre recognitio et confirmatio, « fait valoir la responsabilité différente du Siège apostolique dans l’exercice de ces deux actions, ainsi que celle des Conférences épiscopales ». « Le Magnum Principium, écrit-il ensuite, ne soutient plus que les traductions doivent être conformes en tout point aux normes du Liturgiam authenticam, ainsi qu’il en était dans le passé. » Poursuivant son propos, le pape François souligne de nouveau qu’en ce qui concerne la responsabilité des Conférences épiscopales de traduire fideliter, « il convient de préciser que le jugement concernant la fidélité au latin et les éventuelles corrections nécessaires, était une mission du Dicastère, alors que désormais la norme concède aux Conférences épiscopales la faculté de juger le caractère bon et cohérent de l’un et de l’autre… » La Documentation catholique propose la traduction intégrale de la lettre du pape François au cardinal Robert Sarah. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200886702
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 76-78[article] La réponse du pape François au cardinal Sarah à propos du motu proprio Magnum principium : 15 octobre 2017, lettre du pape François au cardinal Sarah au sujet du motu proprio Magnum principium [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 76-78.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 76-78
Résumé : Le Vatican a rendu public, le dimanche 22 octobre 2017, une lettre du pape François – en date du 15 octobre 2017 – adressée au cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, à propos du motu proprio Magnum principium sur les traductions liturgiques. Le pape François tenait à faire « certaines observations » importantes sur une note intitulée « Commentaire » attribuée au cardinal Sarah, note dont le but « est une compréhension meilleure du texte ». Ainsi, réaffirme-t-il que le nouveau can. 838 du motu proprio, par le biais de la distinction entre recognitio et confirmatio, « fait valoir la responsabilité différente du Siège apostolique dans l’exercice de ces deux actions, ainsi que celle des Conférences épiscopales ». « Le Magnum Principium, écrit-il ensuite, ne soutient plus que les traductions doivent être conformes en tout point aux normes du Liturgiam authenticam, ainsi qu’il en était dans le passé. » Poursuivant son propos, le pape François souligne de nouveau qu’en ce qui concerne la responsabilité des Conférences épiscopales de traduire fideliter, « il convient de préciser que le jugement concernant la fidélité au latin et les éventuelles corrections nécessaires, était une mission du Dicastère, alors que désormais la norme concède aux Conférences épiscopales la faculté de juger le caractère bon et cohérent de l’un et de l’autre… » La Documentation catholique propose la traduction intégrale de la lettre du pape François au cardinal Robert Sarah. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200886702 Motu proprio Summa familiae cura / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Motu proprio Summa familiae cura : Le motu proprio du pape François pour refonder l’Institut pontifical Jean-Paul II d’études sur le mariage et la famille Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 78-80 Langues : Français (fre) Résumé : La Salle de presse du Saint-Siège a rendu public, le 19 septembre 2017, une lettre du pape François en forme de motu proprio, intitulée Summa familiae cura. Par ce motu proprio, daté du 8 septembre 2017, le pape refonde l’Institut pontifical Jean-Paul II d’études sur le mariage et la famille et lui attribue une nouvelle mission. Vu les nouveaux défis auxquels l’Église est confrontée – défis dont elle a particulièrement pris conscience pendant le Synode sur la famille –, le pape François a voulu que la fécondité et l’actualité de l’enseignement du pape Jean-Paul II sur le mariage et la famille soient encore mieux connues. Aussi, a-t-il décidé de faire de l’Institut pontifical Jean-Paul II, l’Institut pontifical théologique Jean-Paul II pour les sciences du mariage et de la famille.
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 78-80[article] Motu proprio Summa familiae cura : Le motu proprio du pape François pour refonder l’Institut pontifical Jean-Paul II d’études sur le mariage et la famille [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 78-80.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 78-80
Résumé : La Salle de presse du Saint-Siège a rendu public, le 19 septembre 2017, une lettre du pape François en forme de motu proprio, intitulée Summa familiae cura. Par ce motu proprio, daté du 8 septembre 2017, le pape refonde l’Institut pontifical Jean-Paul II d’études sur le mariage et la famille et lui attribue une nouvelle mission. Vu les nouveaux défis auxquels l’Église est confrontée – défis dont elle a particulièrement pris conscience pendant le Synode sur la famille –, le pape François a voulu que la fécondité et l’actualité de l’enseignement du pape Jean-Paul II sur le mariage et la famille soient encore mieux connues. Aussi, a-t-il décidé de faire de l’Institut pontifical Jean-Paul II, l’Institut pontifical théologique Jean-Paul II pour les sciences du mariage et de la famille. Le pape François décrète un mois missionnaire extraordinaire en 2019 / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Le pape François décrète un mois missionnaire extraordinaire en 2019 : 22 octobre 2017, lettre au cardinal Fernando Filoni à l’occasion du 100e anniversaire de la lettre apostolique Maximum illud Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 81-83 Langues : Français (fre) Résumé : À l’approche du premier centenaire de la Lettre apostolique du pape Benoît XV sur la mission, Maximum illud, le pape François a adressé, le 22 octobre 2017, journée mondiale des missions, une lettre au cardinal Fernando Filoni, préfet de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples. La missio ad gentes, a expliqué le pape, est née de l’initiative de Benoît XV « de requalifier de manière évangélique la mission dans le monde, afin qu’elle soit purifiée de toute collusion avec la colonisation et se tienne loin des visées nationalistes et expansionnistes ». Puis, il a rappelé que l’envoi des disciples en mission par Jésus (Mc 16, 15) garde toute son actualité. Pour lui, en effet, la mission « n’est pas une option pour l’Église ». C’est une « tâche obligatoire » qui dit l’identité même de l’Église. Avec les mots de Jean-Paul II dans l’encyclique Redemptoris missio, le pape François a donc appelé l’Église à « renouveler son engagement missionnaire » et à se laisser renouveler par la mission. La mission de l’Église, a-t-il continué, ne consiste pas en une « simple administration » mais elle vise à reformer tout ce qui peut devenir « un canal adéquat pour l’évangélisation du monde actuel ». Il a émis le souhait que le centenaire de la lettre apostolique Maximum illud soit pour l’Église l’occasion de s’ouvrir « à la nouveauté joyeuse de l’Évangile ». Et, répondant favorablement à une proposition de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, le pape a décrété qu’octobre 2019 serait un mois missionnaire extraordinaire. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200886940
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 81-83[article] Le pape François décrète un mois missionnaire extraordinaire en 2019 : 22 octobre 2017, lettre au cardinal Fernando Filoni à l’occasion du 100e anniversaire de la lettre apostolique Maximum illud [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 81-83.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 81-83
Résumé : À l’approche du premier centenaire de la Lettre apostolique du pape Benoît XV sur la mission, Maximum illud, le pape François a adressé, le 22 octobre 2017, journée mondiale des missions, une lettre au cardinal Fernando Filoni, préfet de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples. La missio ad gentes, a expliqué le pape, est née de l’initiative de Benoît XV « de requalifier de manière évangélique la mission dans le monde, afin qu’elle soit purifiée de toute collusion avec la colonisation et se tienne loin des visées nationalistes et expansionnistes ». Puis, il a rappelé que l’envoi des disciples en mission par Jésus (Mc 16, 15) garde toute son actualité. Pour lui, en effet, la mission « n’est pas une option pour l’Église ». C’est une « tâche obligatoire » qui dit l’identité même de l’Église. Avec les mots de Jean-Paul II dans l’encyclique Redemptoris missio, le pape François a donc appelé l’Église à « renouveler son engagement missionnaire » et à se laisser renouveler par la mission. La mission de l’Église, a-t-il continué, ne consiste pas en une « simple administration » mais elle vise à reformer tout ce qui peut devenir « un canal adéquat pour l’évangélisation du monde actuel ». Il a émis le souhait que le centenaire de la lettre apostolique Maximum illud soit pour l’Église l’occasion de s’ouvrir « à la nouveauté joyeuse de l’Évangile ». Et, répondant favorablement à une proposition de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, le pape a décrété qu’octobre 2019 serait un mois missionnaire extraordinaire. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200886940 Le discernement, "processus créatif et antidote contre la rigidité" / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Le discernement, "processus créatif et antidote contre la rigidité" : 14 septembre 2017, audience du pape François aux évêques nommés dans l’année Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 84-88 Langues : Français (fre) Résumé :
Lettre experte
Documentation catholique Carnet
Mathieu Gallet, le président de Radio France, en novembre 2017.
Les salaires des baby-sitters, des jardiniers ou des femmes de ménage vont être réévalués.
Conférence de presse de Joseph Kabila, le 26 janvier 2018 à Kinshasa.
Lecture facile ATaille du texte Version PDF Classer l'article
Salle Clémentine, Vatican
“Processus créatif”, “antidote contre la rigidité”, le pape François fait l’éloge du “discernement authentique” devant les nouveaux évêques
14 septembre 2017, audience du pape François aux évêques nommés dans l’année
La Croix , le 29/09/2017 à 15h35
Envoyer par email
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Texte original italien dans l’Osservatore Romano du 15 septembre 2017 (*)
Le 14 septembre 2017, le pape François a reçu en audience, salle Clémentine au Vatican, les évêques récemment nommés qui participaient au cours annuel de formation organisé par les Congrégations pour les évêques et pour les Églises orientales. Dans son discours, il a tenu à partager quelques réflexions sur le discernement – spirituel et pastoral, thème du pèlerinage et des travaux des nouveaux évêques à Rome –, discernement authentique qui est à la fois « remède à l’immobilisme », « processus créatif », et « antidote contre la rigidité ». Une intervention construite en trois parties. L’une, dans laquelle le pape François rappelle que le discernement « naît dans le cœur et dans l’esprit de l’évêque à travers sa prière, quand il met en contact les personnes et les situations qui lui sont confiées avec la Parole divine prononcée par l’Esprit ». La suivante, invite les nouveaux évêques « à cultiver une attitude d’écoute ». Pour le pape François, en effet, « l’évêque n’est pas le “père maître” autosuffisant, et encore moins le “pasteur solitaire” craintif et isolé ». « Le discernement de l’évêque, affirme-t-il, est toujours une action communautaire, qui tient compte de la richesse de l’avis de ses prêtres et diacres, du peuple de Dieu et de tous ceux qui peuvent lui offrir une contribution utile… » Enfin, la troisième partie est un appel à grandir dans le discernement. « Le pasteur sait que Dieu est le chemin et il a confiance en sa compagnie… ». Cependant, « le pasteur ne prend possession de ces certitudes que dans l’humble obscurité de la foi », souligne-t-il. Transmettre ces certitudes, ne constitue pas « à publier des proclamations évidentes, mais à introduire dans l’expérience de Dieu qui sauve en soutenant et en guidant les pas possibles à effectuer ». « C’est pourquoi l’authentique discernement, bien que définitif à chaque pas, est un processus toujours ouvert et nécessaire qui peut être complété et enrichi », conclut le pape François.En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200880725
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 84-88[article] Le discernement, "processus créatif et antidote contre la rigidité" : 14 septembre 2017, audience du pape François aux évêques nommés dans l’année [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 84-88.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 84-88
Résumé :
Lettre experte
Documentation catholique Carnet
Mathieu Gallet, le président de Radio France, en novembre 2017.
Les salaires des baby-sitters, des jardiniers ou des femmes de ménage vont être réévalués.
Conférence de presse de Joseph Kabila, le 26 janvier 2018 à Kinshasa.
Lecture facile ATaille du texte Version PDF Classer l'article
Salle Clémentine, Vatican
“Processus créatif”, “antidote contre la rigidité”, le pape François fait l’éloge du “discernement authentique” devant les nouveaux évêques
14 septembre 2017, audience du pape François aux évêques nommés dans l’année
La Croix , le 29/09/2017 à 15h35
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Texte original italien dans l’Osservatore Romano du 15 septembre 2017 (*)
Le 14 septembre 2017, le pape François a reçu en audience, salle Clémentine au Vatican, les évêques récemment nommés qui participaient au cours annuel de formation organisé par les Congrégations pour les évêques et pour les Églises orientales. Dans son discours, il a tenu à partager quelques réflexions sur le discernement – spirituel et pastoral, thème du pèlerinage et des travaux des nouveaux évêques à Rome –, discernement authentique qui est à la fois « remède à l’immobilisme », « processus créatif », et « antidote contre la rigidité ». Une intervention construite en trois parties. L’une, dans laquelle le pape François rappelle que le discernement « naît dans le cœur et dans l’esprit de l’évêque à travers sa prière, quand il met en contact les personnes et les situations qui lui sont confiées avec la Parole divine prononcée par l’Esprit ». La suivante, invite les nouveaux évêques « à cultiver une attitude d’écoute ». Pour le pape François, en effet, « l’évêque n’est pas le “père maître” autosuffisant, et encore moins le “pasteur solitaire” craintif et isolé ». « Le discernement de l’évêque, affirme-t-il, est toujours une action communautaire, qui tient compte de la richesse de l’avis de ses prêtres et diacres, du peuple de Dieu et de tous ceux qui peuvent lui offrir une contribution utile… » Enfin, la troisième partie est un appel à grandir dans le discernement. « Le pasteur sait que Dieu est le chemin et il a confiance en sa compagnie… ». Cependant, « le pasteur ne prend possession de ces certitudes que dans l’humble obscurité de la foi », souligne-t-il. Transmettre ces certitudes, ne constitue pas « à publier des proclamations évidentes, mais à introduire dans l’expérience de Dieu qui sauve en soutenant et en guidant les pas possibles à effectuer ». « C’est pourquoi l’authentique discernement, bien que définitif à chaque pas, est un processus toujours ouvert et nécessaire qui peut être complété et enrichi », conclut le pape François.En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200880725 Protéger les mineurs des dangers de l'internet / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Protéger les mineurs des dangers de l'internet : 6 octobre 2017, discours du pape François aux participants du colloque sur la dignité de l’enfant dans le monde numérique Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 89-93 Langues : Français (fre) Résumé : Le pape François a rencontré le 6 octobre 2017 les participants au colloque organisé à la Grégorienne de Rome au sujet de la protection des mineurs dans le monde numérique. Si le pape a entamé son propos en citant la Déclaration universelle des droits de l’homme que l’Église a ratifié dès 1948, il a pointé la nécessité de respecter « la dignité et les droits des enfants (…) en opposition à toutes les forces de cette culture du rebut qui aujourd’hui se manifeste de multiples manières au détriment surtout des plus faibles et des plus vulnérables, comme le sont, précisément, les mineurs ». Si le monde numérique est le « fruit d’un engagement extraordinaire de la science et de la technique », générant une certaine fascination, le pape se demande « si nous sommes capables de conduire les processus que nous-mêmes avons mis en route, s’ils ne nous échappent pas, si nous faisons assez pour les garder sous contrôle ». Il a appelé à une mobilisation « pour chercher et trouver les voies et les attitudes correctes afin de donner des réponses efficaces ». Il suggère ensuite d’éviter trois erreurs : sous-évaluer le dommage qui est fait aux mineurs, penser que les solutions techniques sont suffisantes pour protéger les mineurs, voir le réseau comme règne de la liberté sans limite. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200883969
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 89-93[article] Protéger les mineurs des dangers de l'internet : 6 octobre 2017, discours du pape François aux participants du colloque sur la dignité de l’enfant dans le monde numérique [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 89-93.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 89-93
Résumé : Le pape François a rencontré le 6 octobre 2017 les participants au colloque organisé à la Grégorienne de Rome au sujet de la protection des mineurs dans le monde numérique. Si le pape a entamé son propos en citant la Déclaration universelle des droits de l’homme que l’Église a ratifié dès 1948, il a pointé la nécessité de respecter « la dignité et les droits des enfants (…) en opposition à toutes les forces de cette culture du rebut qui aujourd’hui se manifeste de multiples manières au détriment surtout des plus faibles et des plus vulnérables, comme le sont, précisément, les mineurs ». Si le monde numérique est le « fruit d’un engagement extraordinaire de la science et de la technique », générant une certaine fascination, le pape se demande « si nous sommes capables de conduire les processus que nous-mêmes avons mis en route, s’ils ne nous échappent pas, si nous faisons assez pour les garder sous contrôle ». Il a appelé à une mobilisation « pour chercher et trouver les voies et les attitudes correctes afin de donner des réponses efficaces ». Il suggère ensuite d’éviter trois erreurs : sous-évaluer le dommage qui est fait aux mineurs, penser que les solutions techniques sont suffisantes pour protéger les mineurs, voir le réseau comme règne de la liberté sans limite. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200883969 Le Catéchisme de l'Eglise "doit revisiter la question de la peine de mort" / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Le Catéchisme de l'Eglise "doit revisiter la question de la peine de mort" : 11 octobre 2017, discours du pape François pour le 25e anniversaire de la promulgation du Catéchisme de l’Église catholique Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 94-97 Langues : Français (fre) Résumé : À l’occasion du 25e anniversaire de la promulgation du Catéchisme de l’Église catholique, le Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation a organisé une journée de commémoration le 11 octobre 2017. Le pape François a reçu en audience les participants à cette rencontre. Dans le discours qu’il a prononcé, le pape est parti du concile Vatican II pour retracer le chemin qui a conduit à la promulgation du Catéchisme de l’Église catholique en 1992. Citant le pape Jean-Paul II, il a rappelé que l’Église doit, certes, garder la doctrine que l’Esprit lui a inspirée au cours des siècles, mais elle doit aussi prendre en compte « les situations nouvelles et les problèmes qui ne s’étaient pas encore posés dans le passé » afin d’exposer « la nouveauté de l’Évangile du Christ (…) pas encore mise en lumière » à nos contemporains. Pour lui, une des situations que le Catéchisme de l’Église catholique doit revisiter est celle de la peine de mort. Si dans les temps anciens la peine de mort était perçue comme une « conséquence logique dans l’application de la justice », aujourd’hui, a-t-il affirmé, pour le peuple chrétien, rien ne justifie la suppression d’une vie humaine. Dès lors, la doctrine de l’Église catholique « doit affirmer avec force que la condamnation à la peine de mort est une mesure inhumaine qui blesse la dignité personnelle ». Il n’y a pas de contradiction à faire cela, a-t-il expliqué, car la « Tradition est une réalité vivante » et toute doctrine est appelée à évoluer si elle ne veut pas mépriser l’action de l’Esprit Saint. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200883968
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 94-97[article] Le Catéchisme de l'Eglise "doit revisiter la question de la peine de mort" : 11 octobre 2017, discours du pape François pour le 25e anniversaire de la promulgation du Catéchisme de l’Église catholique [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 94-97.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 94-97
Résumé : À l’occasion du 25e anniversaire de la promulgation du Catéchisme de l’Église catholique, le Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation a organisé une journée de commémoration le 11 octobre 2017. Le pape François a reçu en audience les participants à cette rencontre. Dans le discours qu’il a prononcé, le pape est parti du concile Vatican II pour retracer le chemin qui a conduit à la promulgation du Catéchisme de l’Église catholique en 1992. Citant le pape Jean-Paul II, il a rappelé que l’Église doit, certes, garder la doctrine que l’Esprit lui a inspirée au cours des siècles, mais elle doit aussi prendre en compte « les situations nouvelles et les problèmes qui ne s’étaient pas encore posés dans le passé » afin d’exposer « la nouveauté de l’Évangile du Christ (…) pas encore mise en lumière » à nos contemporains. Pour lui, une des situations que le Catéchisme de l’Église catholique doit revisiter est celle de la peine de mort. Si dans les temps anciens la peine de mort était perçue comme une « conséquence logique dans l’application de la justice », aujourd’hui, a-t-il affirmé, pour le peuple chrétien, rien ne justifie la suppression d’une vie humaine. Dès lors, la doctrine de l’Église catholique « doit affirmer avec force que la condamnation à la peine de mort est une mesure inhumaine qui blesse la dignité personnelle ». Il n’y a pas de contradiction à faire cela, a-t-il expliqué, car la « Tradition est une réalité vivante » et toute doctrine est appelée à évoluer si elle ne veut pas mépriser l’action de l’Esprit Saint. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200883968 "Je rêve d'une Europe universitaire et mère" / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : "Je rêve d'une Europe universitaire et mère" : 1er octobre 2017, rencontre du pape François avec les étudiants et le monde académique Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 98-100 Langues : Français (fre) Résumé : Le pape François a rencontré le 1er octobre 2017 les étudiants et le monde académique, place Saint-Dominique, à l’Alma Mater Studium, en milieu d’après-midi. Il a resitué l’université de Bologne dans son contexte historique, faisant « mémoire des origines ». Le pape a ensuite développé trois pistes fondées sur « la recherche du bien (qui) est en effet la clé pour réussir vraiment dans les études ». Il a expliqué que « le droit à la culture signifie protéger la sagesse, c’est-à-dire un savoir humain et humanisant ». Il a poursuivi en précisant le droit à l’espérance qui « est le droit à croire que l’amour vrai n’est pas celui qui est « jetable » et que le travail n’est pas un mirage à atteindre, mais une promesse pour chacun, qui doit être tenue ». Quant au droit à la paix, il est « un devoir, inscrit dans le cœur de l’humanité », a-t-il rappelé, faisant mémoire du 60e anniversaire du Traité de Rome qui scellait les débuts d’une Europe unie. Et de terminer son allocution par un souhait : « Je rêve d’une Europe “universitaire et mère” qui, se souvenant de sa culture, donne l’espérance à ses enfants et est un instrument de paix pour le monde ».
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 98-100[article] "Je rêve d'une Europe universitaire et mère" : 1er octobre 2017, rencontre du pape François avec les étudiants et le monde académique [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 98-100.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 98-100
Résumé : Le pape François a rencontré le 1er octobre 2017 les étudiants et le monde académique, place Saint-Dominique, à l’Alma Mater Studium, en milieu d’après-midi. Il a resitué l’université de Bologne dans son contexte historique, faisant « mémoire des origines ». Le pape a ensuite développé trois pistes fondées sur « la recherche du bien (qui) est en effet la clé pour réussir vraiment dans les études ». Il a expliqué que « le droit à la culture signifie protéger la sagesse, c’est-à-dire un savoir humain et humanisant ». Il a poursuivi en précisant le droit à l’espérance qui « est le droit à croire que l’amour vrai n’est pas celui qui est « jetable » et que le travail n’est pas un mirage à atteindre, mais une promesse pour chacun, qui doit être tenue ». Quant au droit à la paix, il est « un devoir, inscrit dans le cœur de l’humanité », a-t-il rappelé, faisant mémoire du 60e anniversaire du Traité de Rome qui scellait les débuts d’une Europe unie. Et de terminer son allocution par un souhait : « Je rêve d’une Europe “universitaire et mère” qui, se souvenant de sa culture, donne l’espérance à ses enfants et est un instrument de paix pour le monde ». "Construire en Europe une communauté de peuples désireux de partager un destin" / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : "Construire en Europe une communauté de peuples désireux de partager un destin" : 28 octobre 2017, discours du pape François aux participants de la conférence « (Re) Thinking Europe » Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 101-106 Langues : Français (fre) Résumé : Au terme de la journée du 28 octobre 2017, le pape François a rencontré les participants à la conférence « (Re) Thinking Europe » organisée par la Commission des épiscopats de la Communauté européenne (Comece) en collaboration avec la Secrétairerie d’État. Le pape s’est réjoui de « l’occasion de réfléchir largement sur l’avenir de l’Europe sous plusieurs angles, grâce à la présence parmi vous de diverses personnalités ecclésiales, politiques, académiques ou simplement provenant de la société civile ». Puis il a souligné que l’Europe est faite de personnes et non de chiffres : « Il n’y a pas les citoyens, il y a les suffrages. Il n’y a pas les migrants, il y a les quotas. Il n’y a pas les travailleurs, il y a les indicateurs économiques. Il n’y a pas les pauvres, il y a les seuils de pauvreté ». Le pape a ensuite suggéré cinq axes pour construire l’Europe : le dialogue, l’inclusion, la solidarité, le développement et la paix : « Ce n’est donc pas le moment de construire des tranchées, mais plutôt celui d’avoir le courage de travailler pour poursuivre pleinement le rêve des Pères fondateurs d’une Europe unie et unanime, une communauté de peuples désireux de partager un destin de développement et de paix ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200888018
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 101-106[article] "Construire en Europe une communauté de peuples désireux de partager un destin" : 28 octobre 2017, discours du pape François aux participants de la conférence « (Re) Thinking Europe » [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 101-106.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 101-106
Résumé : Au terme de la journée du 28 octobre 2017, le pape François a rencontré les participants à la conférence « (Re) Thinking Europe » organisée par la Commission des épiscopats de la Communauté européenne (Comece) en collaboration avec la Secrétairerie d’État. Le pape s’est réjoui de « l’occasion de réfléchir largement sur l’avenir de l’Europe sous plusieurs angles, grâce à la présence parmi vous de diverses personnalités ecclésiales, politiques, académiques ou simplement provenant de la société civile ». Puis il a souligné que l’Europe est faite de personnes et non de chiffres : « Il n’y a pas les citoyens, il y a les suffrages. Il n’y a pas les migrants, il y a les quotas. Il n’y a pas les travailleurs, il y a les indicateurs économiques. Il n’y a pas les pauvres, il y a les seuils de pauvreté ». Le pape a ensuite suggéré cinq axes pour construire l’Europe : le dialogue, l’inclusion, la solidarité, le développement et la paix : « Ce n’est donc pas le moment de construire des tranchées, mais plutôt celui d’avoir le courage de travailler pour poursuivre pleinement le rêve des Pères fondateurs d’une Europe unie et unanime, une communauté de peuples désireux de partager un destin de développement et de paix ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200888018 L'arme nucléaire procure un "sentiment trompeur de sécurité" / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : L'arme nucléaire procure un "sentiment trompeur de sécurité" : 10 novembre 2017, discours du pape François aux participants du symposium international sur le désarmement Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 107-109 Langues : Français (fre) Résumé : Le 10 novembre 2017, le pape François a reçu en audience les participants au symposium international sur le désarmement, promu par le dicastère pour le service du développement humain intégral. Dans son discours, il a fait part de son « vif sentiment d’inquiétude » à l’égard de l’arme nucléaire. Pour le pape François il est impératif de condamner fermement la menace de leur usage, ainsi que leur possession, « précisément parce que leur existence est liée à une logique de peur qui ne concerne pas seulement les parties en conflit, mais tout le genre humain ». Pour lui, en effet, les relations internationales ne peuvent « être dominées par la force militaire, par les intimidations réciproques, par l’ostentation des arsenaux de guerre ». « Les armes de destruction de masse, en particulier les armes atomiques, n’engendrent qu’un sentiment trompeur de sécurité et ne peuvent constituer la base d’une coexistence pacifique », a encore affirmé le pape François. Après s’être félicité du vote de l’Onu jugeant les armes nucléaires non seulement immorales mais aussi illégitimes, il a défendu l’idée qu’un « progrès effectif et inclusif peut rendre réalisable l’utopie d’un monde privé d’instruments offensifs mortels… » Il a également rappelé l’importance de la lettre encyclique Populorum progressio de Paul VI, qui « a mis en évidence la notion de développement humain intégral » ainsi que celle de la lettre encyclique de Jean XXIII, Pacem in terris. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200892767
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 107-109[article] L'arme nucléaire procure un "sentiment trompeur de sécurité" : 10 novembre 2017, discours du pape François aux participants du symposium international sur le désarmement [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 107-109.
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in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 107-109
Résumé : Le 10 novembre 2017, le pape François a reçu en audience les participants au symposium international sur le désarmement, promu par le dicastère pour le service du développement humain intégral. Dans son discours, il a fait part de son « vif sentiment d’inquiétude » à l’égard de l’arme nucléaire. Pour le pape François il est impératif de condamner fermement la menace de leur usage, ainsi que leur possession, « précisément parce que leur existence est liée à une logique de peur qui ne concerne pas seulement les parties en conflit, mais tout le genre humain ». Pour lui, en effet, les relations internationales ne peuvent « être dominées par la force militaire, par les intimidations réciproques, par l’ostentation des arsenaux de guerre ». « Les armes de destruction de masse, en particulier les armes atomiques, n’engendrent qu’un sentiment trompeur de sécurité et ne peuvent constituer la base d’une coexistence pacifique », a encore affirmé le pape François. Après s’être félicité du vote de l’Onu jugeant les armes nucléaires non seulement immorales mais aussi illégitimes, il a défendu l’idée qu’un « progrès effectif et inclusif peut rendre réalisable l’utopie d’un monde privé d’instruments offensifs mortels… » Il a également rappelé l’importance de la lettre encyclique Populorum progressio de Paul VI, qui « a mis en évidence la notion de développement humain intégral » ainsi que celle de la lettre encyclique de Jean XXIII, Pacem in terris. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200892767 Migrants et réfugiés au coeur du message de la journée mondiale de prière pour la paix / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Migrants et réfugiés au coeur du message de la journée mondiale de prière pour la paix : 13 novembre 2017, message du pape François pour la 51e Journée mondiale de prière pour la paix Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 110-114 Langues : Français (fre) Résumé : Rendu public le 24 novembre 2017, le message du pape François pour la 51e Journée mondiale de prière pour la paix est daté du 13 novembre 2017, en la fête de sainte Françoise-Xavière Cabrini, patronne des migrants. Rappelant qu’aujourd’hui ce sont « plus de 250 millions de migrants dans le monde, dont 22 millions et demi sont des réfugiés » le pape est bien conscient « qu’ouvrir nos cœurs à la souffrance des autres ne suffit pas » et qu’accueillir l’autre est exigeant. Le pape revient sur le « pourquoi tant de réfugiés et de migrants », abordé dans l’encyclique Laudato si’, et d’insister sur le fait que « tous les éléments dont dispose la communauté internationale indiquent que les migrations globales continueront à caractériser notre avenir ». S’il s’arrête sur le « regard contemplatif » à développer, il propose quatre pierres angulaires pour l’action « accueillir, protéger, promouvoir et intégrer ». Il souhaite ensuite que cet esprit anime les rédacteurs de deux pactes mondiaux « l’un, pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, et l’autre concernant les réfugiés », en luttant contre le cynisme et l’indifférence. Très concrètement, il propose les 20 points d’action que la section Migrants et Réfugiés du Dicastère pour le Service du Développement humain a rédigé. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200894530
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 110-114[article] Migrants et réfugiés au coeur du message de la journée mondiale de prière pour la paix : 13 novembre 2017, message du pape François pour la 51e Journée mondiale de prière pour la paix [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 110-114.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 110-114
Résumé : Rendu public le 24 novembre 2017, le message du pape François pour la 51e Journée mondiale de prière pour la paix est daté du 13 novembre 2017, en la fête de sainte Françoise-Xavière Cabrini, patronne des migrants. Rappelant qu’aujourd’hui ce sont « plus de 250 millions de migrants dans le monde, dont 22 millions et demi sont des réfugiés » le pape est bien conscient « qu’ouvrir nos cœurs à la souffrance des autres ne suffit pas » et qu’accueillir l’autre est exigeant. Le pape revient sur le « pourquoi tant de réfugiés et de migrants », abordé dans l’encyclique Laudato si’, et d’insister sur le fait que « tous les éléments dont dispose la communauté internationale indiquent que les migrations globales continueront à caractériser notre avenir ». S’il s’arrête sur le « regard contemplatif » à développer, il propose quatre pierres angulaires pour l’action « accueillir, protéger, promouvoir et intégrer ». Il souhaite ensuite que cet esprit anime les rédacteurs de deux pactes mondiaux « l’un, pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, et l’autre concernant les réfugiés », en luttant contre le cynisme et l’indifférence. Très concrètement, il propose les 20 points d’action que la section Migrants et Réfugiés du Dicastère pour le Service du Développement humain a rédigé. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200894530 L’évêque diocésain, juge unique dans les procédures brèves de nullité du mariage / François in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : L’évêque diocésain, juge unique dans les procédures brèves de nullité du mariage : 25 novembre 2017, discours du pape François aux participants à une formation du Tribunal de la Rote romaine sur la nullité du mariage Type de document : texte imprimé Auteurs : François (pape ; 1936-....), Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 115-117 Langues : Français (fre) Résumé : Au terme de la formation organisée par le Tribunal de la Rote romaine sur le thème du « nouveau procès matrimonial et de la procédure Super Rato », le pape François a reçu en audience, le 25 novembre 2017, les participants à cette rencontre. Le pape s’est réjoui de l’organisation de telles « initiatives » car elles favorisent des échanges sur des questions canoniques importantes. Il a invité ses auditeurs à « réserver une grande attention aux deux récents Motu proprio que sont Mitis Iudex Dominus Iesus et Mitis et misericors Iesus, (… fruits) d’un chemin synodal approfondi ». Il les a exhortés à être des relais de l’esprit ainsi que de la consolation qui ont prévalu au Synode. Puis, le pape leur a rappelé la nécessaire collaboration avec leurs évêques qui jouissent désormais d’un pouvoir déterminant pour la procédure courte de nullité de mariage. De fait, il est « juge personnel et unique dans les procédures brèves », a-t-il précisé. Ainsi, les évêques ne pourront plus déléguer aux tribunaux cette attribution qui relève de leur consécration et de la mission qu’ils ont reçue. Par-dessus tout, a insisté le pape, les évêques doivent faire preuve de miséricorde afin de garantir le salut et la paix chez les fidèles qui attendent la justice de l’Église. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200896048
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 115-117[article] L’évêque diocésain, juge unique dans les procédures brèves de nullité du mariage : 25 novembre 2017, discours du pape François aux participants à une formation du Tribunal de la Rote romaine sur la nullité du mariage [texte imprimé] / François (pape ; 1936-....), Auteur . - 2018 . - p. 115-117.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 115-117
Résumé : Au terme de la formation organisée par le Tribunal de la Rote romaine sur le thème du « nouveau procès matrimonial et de la procédure Super Rato », le pape François a reçu en audience, le 25 novembre 2017, les participants à cette rencontre. Le pape s’est réjoui de l’organisation de telles « initiatives » car elles favorisent des échanges sur des questions canoniques importantes. Il a invité ses auditeurs à « réserver une grande attention aux deux récents Motu proprio que sont Mitis Iudex Dominus Iesus et Mitis et misericors Iesus, (… fruits) d’un chemin synodal approfondi ». Il les a exhortés à être des relais de l’esprit ainsi que de la consolation qui ont prévalu au Synode. Puis, le pape leur a rappelé la nécessaire collaboration avec leurs évêques qui jouissent désormais d’un pouvoir déterminant pour la procédure courte de nullité de mariage. De fait, il est « juge personnel et unique dans les procédures brèves », a-t-il précisé. Ainsi, les évêques ne pourront plus déléguer aux tribunaux cette attribution qui relève de leur consécration et de la mission qu’ils ont reçue. Par-dessus tout, a insisté le pape, les évêques doivent faire preuve de miséricorde afin de garantir le salut et la paix chez les fidèles qui attendent la justice de l’Église. En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200896048 Au terme des 500 ans de la Réforme, luthériens et catholiques rendent grâce in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Au terme des 500 ans de la Réforme, luthériens et catholiques rendent grâce : 31 octobre 2017, déclaration commune de la Fédération luthérienne mondiale et du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 118-119 Langues : Français (fre) Résumé : Ce 31 octobre 2017, le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens et la Fédération luthérienne mondiale ont publié un communiqué commun, qui marque la fin de l’année de commémoration des 500 ans de la Réforme luthérienne. Au début de la déclaration, luthériens et catholiques s’estiment « profondément reconnaissants du chemin œcuménique (…) parcouru ensemble durant les cinquante dernières années ». Poursuivant la relecture de cette année de commémoration inaugurée par le pape François et l’évêque Younan, les auteurs de la déclaration précisent que « pour la première fois les luthériens et les catholiques ont considéré la Réforme dans une perspective œcuménique », et que le travail œcuménique s’élargit à d’autres Églises. Ensemble, ils s’engagent « à continuer à cheminer ensemble, guidés par l’Esprit de Dieu, vers la plus grande unité selon la volonté de notre Seigneur Jésus-Christ ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200888982
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 118-119[article] Au terme des 500 ans de la Réforme, luthériens et catholiques rendent grâce : 31 octobre 2017, déclaration commune de la Fédération luthérienne mondiale et du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens [texte imprimé] . - 2018 . - p. 118-119.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 118-119
Résumé : Ce 31 octobre 2017, le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens et la Fédération luthérienne mondiale ont publié un communiqué commun, qui marque la fin de l’année de commémoration des 500 ans de la Réforme luthérienne. Au début de la déclaration, luthériens et catholiques s’estiment « profondément reconnaissants du chemin œcuménique (…) parcouru ensemble durant les cinquante dernières années ». Poursuivant la relecture de cette année de commémoration inaugurée par le pape François et l’évêque Younan, les auteurs de la déclaration précisent que « pour la première fois les luthériens et les catholiques ont considéré la Réforme dans une perspective œcuménique », et que le travail œcuménique s’élargit à d’autres Églises. Ensemble, ils s’engagent « à continuer à cheminer ensemble, guidés par l’Esprit de Dieu, vers la plus grande unité selon la volonté de notre Seigneur Jésus-Christ ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200888982 Formation des prêtres, Mgr Patron Wong en décrit les principaux défis / Wong Patron in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Formation des prêtres, Mgr Patron Wong en décrit les principaux défis : 4 novembre 2017, discours de Mgr Patrón Wong sur la Ratio fundamentalis aux évêques de France Type de document : texte imprimé Auteurs : Wong Patron, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 120-127 Langues : Français (fre) Résumé : Le 4 novembre 2017, Mgr Jorge Carlos Patrón Wong, secrétaire pour les séminaires au sein de la Congrégation pour le clergé, s’est exprimé devant l’Assemblée plénière des évêques de France à Lourdes. L’objet de son intervention « Une nouvelle Ratio fundamentalis pour de nouvelles Ratio nationalis » est survenu après un temps de travail des évêques. Dans son discours, s’appuyant sur des passages des deux lettres de saint Paul à Timothée (2 Tm 2, 2 et 1 Tim 4, 9-10), Mgr Patrón Wong s’est d’abord arrêté sur les raisons et les caractéristiques majeures de la nouvelle Ratio fundamentalis. Cette nouvelle Ratio – fruit d’une collaboration entre la Congrégation pour le clergé, les conférences épiscopales, les nonciatures, certains autres dicastères et divers experts –, « part de l’identité du prêtre comme serviteur et pasteur de ses frères », a-t-il notamment précisé. De ce fait, « elle voit la vocation comme le cheminement continu d’un disciple vers la configuration au Christ, insiste sur la formation à l’intériorité et à la communion et met en valeur l’accompagnement personnel et communautaire ». Le secrétaire pour les séminaires a ensuite décrit les défis fondamentaux, selon lui, « pour l’élaboration des Ratio nationalis, objectif principal de la Ratio universelle ». Celui du dialogue entre les évêques, « fruit et condition sine qua non de la communion épiscopale et de sa fécondité » ; celui de la pastorale des vocations qui demande « de notre part et de la part des prêtres, un nouvel élan et de nouveaux efforts » ; défi encore que de soigner la formation permanente dès la formation initiale et de « considérer leur imbrication mutuelle et de voir que la formation permanente précède même l’initiale et la rend possible » ; défi enfin concernant les formateurs et la communauté éducative. Mgr Patrón Wong a également abordé la question du contenu et de l’élaboration de la Ratio nationalis, qui devra intégrer les principes formateurs de la nouvelle Ratio : « l’unité et l’intégralité de la formation et de ses quatre dimensions, la gradualité, les dimensions communautaire et missionnaire de la préparation au ministère ordonné, la communauté éducative ou les quatre étapes de la formation initiale (…) ». Particulièrement l’étape propédeutique, désormais obligatoire, et l’étape appelée « pastorale » ou « synthèse vocationnelle ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200890044
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 120-127[article] Formation des prêtres, Mgr Patron Wong en décrit les principaux défis : 4 novembre 2017, discours de Mgr Patrón Wong sur la Ratio fundamentalis aux évêques de France [texte imprimé] / Wong Patron, Auteur . - 2018 . - p. 120-127.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 120-127
Résumé : Le 4 novembre 2017, Mgr Jorge Carlos Patrón Wong, secrétaire pour les séminaires au sein de la Congrégation pour le clergé, s’est exprimé devant l’Assemblée plénière des évêques de France à Lourdes. L’objet de son intervention « Une nouvelle Ratio fundamentalis pour de nouvelles Ratio nationalis » est survenu après un temps de travail des évêques. Dans son discours, s’appuyant sur des passages des deux lettres de saint Paul à Timothée (2 Tm 2, 2 et 1 Tim 4, 9-10), Mgr Patrón Wong s’est d’abord arrêté sur les raisons et les caractéristiques majeures de la nouvelle Ratio fundamentalis. Cette nouvelle Ratio – fruit d’une collaboration entre la Congrégation pour le clergé, les conférences épiscopales, les nonciatures, certains autres dicastères et divers experts –, « part de l’identité du prêtre comme serviteur et pasteur de ses frères », a-t-il notamment précisé. De ce fait, « elle voit la vocation comme le cheminement continu d’un disciple vers la configuration au Christ, insiste sur la formation à l’intériorité et à la communion et met en valeur l’accompagnement personnel et communautaire ». Le secrétaire pour les séminaires a ensuite décrit les défis fondamentaux, selon lui, « pour l’élaboration des Ratio nationalis, objectif principal de la Ratio universelle ». Celui du dialogue entre les évêques, « fruit et condition sine qua non de la communion épiscopale et de sa fécondité » ; celui de la pastorale des vocations qui demande « de notre part et de la part des prêtres, un nouvel élan et de nouveaux efforts » ; défi encore que de soigner la formation permanente dès la formation initiale et de « considérer leur imbrication mutuelle et de voir que la formation permanente précède même l’initiale et la rend possible » ; défi enfin concernant les formateurs et la communauté éducative. Mgr Patrón Wong a également abordé la question du contenu et de l’élaboration de la Ratio nationalis, qui devra intégrer les principes formateurs de la nouvelle Ratio : « l’unité et l’intégralité de la formation et de ses quatre dimensions, la gradualité, les dimensions communautaire et missionnaire de la préparation au ministère ordonné, la communauté éducative ou les quatre étapes de la formation initiale (…) ». Particulièrement l’étape propédeutique, désormais obligatoire, et l’étape appelée « pastorale » ou « synthèse vocationnelle ». En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200890044 "Faire confiance au dialogue, à la rencontre, à la justice et à la réconciliation" / Georges Pontier in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : "Faire confiance au dialogue, à la rencontre, à la justice et à la réconciliation" : 3 novembre 2017, discours d’ouverture de Mgr Pontier de l’Assemblée plénière d’automne des évêques de France Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Pontier, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 128-133 Langues : Français (fre) Résumé : À Lourdes, le 3 novembre 2017 au matin, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence épiscopale, a prononcé le discours d’ouverture de l’Assemblée plénière d’automne des évêques de France. Une intervention dans laquelle il a appelé la société tout entière à « privilégier le dialogue », à la fois pour vaincre les peurs nées du terrorisme et pour aborder les grands débats éthiques qui s’annoncent. « Nous ne voulons pas que des Français aient peur les uns des autres. Nous sommes ensemble contre ce fléau de la violence aveugle. Nous voulons travailler à guérir les germes de violence présents dans les cœurs et les esprits », a ainsi affirmé Mgr Pontier, se félicitant que « l’esprit de solidarité » ne soit « pas mort » dans notre pays. Citant l’exemple des Français, notamment parmi les catholiques, qui s’engagent aux côtés des migrants traversant les frontières pour trouver refuge dans notre pays, il s’est également réjoui de les voir « risquer l’amitié et l’accueil ». « Certains évoquent souvent les racines chrétiennes de l’Europe. Les uns pour les protéger dans un espace étroit et tranquille, les autres pour s’en inspirer. Le christianisme porte la vision d’une fraternité universelle de l’humanité », a-t-il tenu à rappeler. S’appuyant sur la déclaration du Conseil permanent des évêques de France de la fin 2016, Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique, Mgr Pontier a redit la volonté de l’Église de participer au débat public. « Certains nous en refusent le droit, convaincus que la place des religions doit rester dans les limites closes des maisons et des célébrations cultuelles, a-t-il souligné. Nous ne le pensons pas. La société est faite de citoyens aux diverses convictions dont certaines sont religieuses. Ils n’en sont pas moins des citoyens loyaux, cherchant le bien de tous et de chacun. » En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200889201
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 128-133[article] "Faire confiance au dialogue, à la rencontre, à la justice et à la réconciliation" : 3 novembre 2017, discours d’ouverture de Mgr Pontier de l’Assemblée plénière d’automne des évêques de France [texte imprimé] / Georges Pontier, Auteur . - 2018 . - p. 128-133.
Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 128-133
Résumé : À Lourdes, le 3 novembre 2017 au matin, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence épiscopale, a prononcé le discours d’ouverture de l’Assemblée plénière d’automne des évêques de France. Une intervention dans laquelle il a appelé la société tout entière à « privilégier le dialogue », à la fois pour vaincre les peurs nées du terrorisme et pour aborder les grands débats éthiques qui s’annoncent. « Nous ne voulons pas que des Français aient peur les uns des autres. Nous sommes ensemble contre ce fléau de la violence aveugle. Nous voulons travailler à guérir les germes de violence présents dans les cœurs et les esprits », a ainsi affirmé Mgr Pontier, se félicitant que « l’esprit de solidarité » ne soit « pas mort » dans notre pays. Citant l’exemple des Français, notamment parmi les catholiques, qui s’engagent aux côtés des migrants traversant les frontières pour trouver refuge dans notre pays, il s’est également réjoui de les voir « risquer l’amitié et l’accueil ». « Certains évoquent souvent les racines chrétiennes de l’Europe. Les uns pour les protéger dans un espace étroit et tranquille, les autres pour s’en inspirer. Le christianisme porte la vision d’une fraternité universelle de l’humanité », a-t-il tenu à rappeler. S’appuyant sur la déclaration du Conseil permanent des évêques de France de la fin 2016, Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique, Mgr Pontier a redit la volonté de l’Église de participer au débat public. « Certains nous en refusent le droit, convaincus que la place des religions doit rester dans les limites closes des maisons et des célébrations cultuelles, a-t-il souligné. Nous ne le pensons pas. La société est faite de citoyens aux diverses convictions dont certaines sont religieuses. Ils n’en sont pas moins des citoyens loyaux, cherchant le bien de tous et de chacun. » En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/-2017-11-16-1200889201 Hiérarchie in La Documentation catholique, n°2529 (Janvier 2018)
[article]
Titre : Hiérarchie Type de document : texte imprimé Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 134-139 Langues : Français (fre)
in La Documentation catholique > n°2529 (Janvier 2018) . - p. 134-139[article] Hiérarchie [texte imprimé] . - 2018 . - p. 134-139.
Langues : Français (fre)
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